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GARE DU NORD : LA MARMITE

Lu sur CQFD : "Centre commercial, labyrinthe de béton, transit anonyme, vie souterraine, violence policière, émeutes, assassinat légal, travail précaire, grèves sauvages sauvagement réprimées : la gare du Nord, à Paris, est en passe de devenir une synthèse futuriste de la société qu’on nous promet...

FINI PERPIGNAN ! La gare du Nord de Paris a dorénavant acquis le statut de centre du monde. Non pas les halls et quais lumineux destinés aux trains prestigieux tel que le Thalys et autres Eurostar, mais celle souterraine des RER banlieusards aspirant et vomissant une population idoine. Labyrinthes pénitenciers, surveillance électronique high-tech, commerces fashion, présence policière massive, absence d’information, éclairage a minima...

C’est dans ce lieu que semblent se concentrer les conditions de circulation du citadin moderne en Europe occidentale. À croire que la maltraitance de l’usager, sans cesse affinée et réactualisée, a été le point nodal de son cahier des charges. C’est dans ce même cadre que les tensions accumulées partout ont, aussi, explosé : incidents antiflics en mars, rencontres agitées entre jeunes des quartiers début septembre, sous l’oeil mercantile des médias. C’est là aussi que des dizaines de milliers de banlieusards ont pu voir in vivo, sans passer par les filtres de la propagande, l’attitude de la police : non pas devant leur télé ou dans un ailleurs invérifiable, mais là, devant eux. Délire policier, déploiement de force, brutalité permise [1]... C’est là aussi que le 21 septembre, la police a chargé et gazé des salariés en grève « contre l’irrespect et l’humiliation ».
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Ecrit par libertad, à 08:37 dans la rubrique "Actualité".



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