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Lu sur la feuille charbinoise : "Coquin
de Macron, va… Depuis ton élection, tu te la jouais pépère… Un bon coup
d’épée à droite, et toc quelques milliards en plus pour les riches ;
une petite pause ; un petit coup d’épée à gauche, et toc, l’Etat se
dégage du bourbier cinquantenaire de NDDL. Comme cette dernière histoire
cause beaucoup de peine à Mr Vinci, le lointain cousin de Léonard, je
pense que ça va nous coûter un brin à nous autres contribuables ;
attendons de voir…
Mais là, ça y est, depuis la fin de l’année le masque est définitivement
tombé. Tu as quelques belles années devant toi, mais pas tant que ça
non plus, et tu vas t’agiter comme un forcené pour mettre en œuvre les
belles mesures sociales contenues dans ton programme révolutionnaire
comme pas deux. Après avoir serré la ceinture d’un cran aux retraités,
tu t’apprêtes à dégraisser non pas le « mammouth » cher à l’un de tes
clowns de prédécesseurs, mais la fonction publique dans son ensemble.
Autant voir grand ! Tu as raison ! Comme le réclament tes directeurs de
conscience, il faut TOUT privatiser, sauf les forces de l’ordre et
l’armée, seuls garants qui te permettront d’éviter que les allergiques à
ta révolution ne foutent le bordel dans les rues comme cinquante ans
auparavant. Comme tu es Zorro, et non le Grand Charles, tu fais tout
dans la finesse, toi…. Quoique, pour le maintien de l’ordre… Les Rois de
France et du voisinage, tes lointains cousins, faisaient souvent appel
aux mercenaires dans leurs armées ; ils estimaient que ces soldats en
CDD étaient plus fiables que les troufions fonctionnarisés. Tant qu’on
les payait, ils tapaient. Certes le recours à des milices privées pour
sécuriser nos villes et nos campagnes pourrait être plus coûteux
puisqu’il faut bien que leurs employeurs officiels gagnent du pognon.
Mais d’un autre côté, ça enlèverait un souci au gouvernement qui
n’aurait plus qu’à gérer des appels d’offres. Mais bon il faut procéder
par étape dans cette vieille France où le couvercle des avantages
sociaux pèse sur les épaules des patrons comme un ciel bas et lourd. Il
faut bousculer tous ces passéistes qui ne veulent pas que les droits
acquis au XXème siècle perdurent ; tous ces profiteurs qui ne savent pas
reconnaître que l’avenir, le vrai, c’est le retour au XIXème siècle et
même avant.
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