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Basta! : "La criminalisation des mouvements sociaux s’intensifie en Europe. Les
militants du mouvement No Tav en Italie, fer de lance de l’opposition au
projet de ligne grande vitesse entre Lyon et Turin, en font les frais.
Quatre d’entre eux, accusés d’avoir détruit du matériel pour freiner les
travaux, viennent de passer cinq mois en détention provisoire, dans des
conditions très dures. Ils étaient jusqu’à présent poursuivis pour
« acte de terrorisme ». En se constituant partie civile au procès, la
Commission européenne a cautionné les dérives de l’application tout
azimuts des lois antiterroristes. Ce procès sous haute tension s’ouvre
le 22 mai.
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