Joueb.com
Envie de créer un weblog ? |
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web. |
http://elize-chanson.over-blog.com/
*Propos de l’artiste :
A-t-on vraiment l’intention de la boucler pour aller voir ailleurs ou traduit-on par cette formule le comportement docile de nos concitoyens ? That is the question. En fait, ce disque est sorti grâce à des musiciens qui m’ont forcée en y participant, à le terminer. Sans eux, il serait toujours en l’état dans mon ordinateur désenchanté. Pour le contenu, il est comme d’habitude d’une grande subtilité et passera une fois de plus à côté des oreilles formatées et jalouses de mes contemporains. Mais le divin Mozart le disait lui-même : "J’écris pour toutes les oreilles sauf celles des ânes". Alors à ceux qui savent encore écouter, je donnerai quelques clefs : "L’an quarante" est une chanson "vécue" : Rolland a perdu sa mère le 10 mai 1981. Il y a des anniversaires qui ne résonnent pas pour tout le monde pareil. "La chanson du laboureur" est extraite d’un spectacle mi-chanson, mi-théâtre qu’on avait monté en 1984, une parodie du roman champêtre de George Sand : "La mare au diable". On le jouait avec des copains dans des salles polyvalentes qui se remplissaient toutes seules. Une autre époque ! "Deux discours et trois pubs" est de facture classique, comme diraient les critiques d’art (elle est écrite en alexandrins, s’il vous plait). J’avais mis dans le temps une autre musique dessus, que j’ai pas notée et que j’ai oubliée. Peut-être qu’elle était mieux ? Ce texte m’est réapparu après le scandale d’Outreau comme indispensable.
CD 12 titres (Il a raison le poète- Les trente glorieuses- Les Yankees. Fermer sa gueule- Dis mon Dieu- L’an quarante- Les nouveaux chanteurs- La chanson du laboureur- Ne l’appelez pas Nicolas- Les vieux chanteurs- Y a plus de saisons- Deux discours et trois pubs). Paroles : Rolland Hénault. Musique, accordéon, claviers : Elisabeth Gillet. Guitares et dobro : Jérémie Tepper. Contrebasse et basse : Christophe Garreau. Enregistrement : Studio du Breton. Editions de l’Impossible.
Commentaires :
revolte |
Répondre à ce commentaire
|
à 20:19