Distributeurs d'imprimés : « Les patrons, ils n’ont quand même pas tous les droits »
Lu sur
le Postillon : "Bien moins visibles que les facteurs, ils traînent dans les rues leur
chariot chargé de publicités, poussent les portes des immeubles et
glissent leurs prospectus dans les boîtes aux lettres. Invisibles si
l’on n’y prend pas garde. Ils sont, en novlangue, des «
distributeurs d’imprimés ».
Alpagué
dans la rue, Fabien (pseudo) a accepté de nous parler de son taf. Son
témoignage permet de réaliser que même si ces travailleurs précaires
polluent nos boîtes aux lettres et parfois nos esprits, ils n’ont que
rarement d’autres solutions pour croûter ou compléter leur maigre
retraite. D’autant que les dépassements d’heures sont monnaie courante
et non rémunérés. Un vrai boulot de merde.
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