Lu sur
Bellaciao : "Le fantôme de la loi « anti-casseurs » rode au Havre. Quatre
militants de la CGT comparaissaient devant le tribunal de grande
instance le 21 février pour deux affaires a priori plutôt banales. Le
Procureur de la République a requis deux mois de prison avec sursis et
300 euros d’amende dans une affaire et pas moins de six mois de prison
ferme et 500 euros d’amende dans l’autre. Les jugements seront rendus le
lundi 31 mars. Une pétition circule pour dénoncer, encore, la
criminalisation de l’action syndicale.
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