Lu sur
CQFD : «
La présentation des faits est si souvent mêlée à la propagande des
factions en présence qu’il est difficile de prendre une position
critique », observe Simon Rodriguez Porras
[1]
dans un texte sévère sur la responsabilité du régime post-Chávez dans
les récentes manifestations du mois de février. Dans ce contexte de
guerre médiatique et de bipolarisation extrême, nous avons essayé de
recueillir quelques clefs d’analyse auprès de plusieurs observateurs
vénézuéliens pour mieux comprendre ces signes d’érosion du chavisme.
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