Lu sur CQFD : « Il reste 217 dollars dans les caisses de l’État zimbabwéen »,
annonçait récemment le site d’informations d’un journal de banquier.
Voilà qui nous situe à peu près sur l’échelle globalisée de la fortune :
CQFD est aussi riche, à quelques dizaines de dollars près, que
le trésor public du Zimbabwe. Les sous qui nous restent ne suffiront
même pas à payer l’impression du prochain numéro. Si nous vivions dans
un monde raisonnable, les Zimbabwéens se la couleraient douce, les
banquiers feraient la manche au feu rouge et
CQFD triompherait. Mais nous vivons dans un monde déraisonnable où les flibustiers de la presse libre crèvent la gueule ouverte.
CQFD, qui ouvre la sienne depuis dix ans, risque bien cette fois de devoir la fermer, et pour de bon.
Lire la suite ici