Lu sur
Acrimed : "La couverture médiatique du référendum grec s’est transformée, comme on pouvait s’y attendre, en véritable curée anti-Syriza.
Dans la presse écrite,
sur Twitter,
à la télévision,
c’est à un déferlement de mépris, voire de haine, que l’on a assisté,
avec une virulence qui rappelle inévitablement les grandes heures du
référendum français de 2005.
Lors de nos premières observations, nous avons parfois mis de côté
quelques épisodes journalistiques particulièrement délicieux, mais qui à
eux seuls ne pouvaient donner lieu à un article. Voici donc une
compilation de ces grands moments : le meilleur du pire de l’information
sur le référendum grec [
1].
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