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Basta ! : "Alors que la crise de l’élevage bat son plein, un secteur économique
tire son épingle du jeu : celui des déchets d’abattoirs et des cadavres
d’animaux. D’abord transformés en graisses et farines animales, ils
trouvent ensuite des débouchés dans la chimie, l’alimentation animale et
humaine, les engrais et plus récemment dans… l’essence pour les
véhicules. Un petit nombre d’entreprises se partagent ce marché,
bénéficiant d’une réglementation assouplie, de défiscalisations et de
« contributions volontaires obligatoires » des éleveurs… Enquête.
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