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Le Devoir : "Les travailleuses du sexe seraient-elles des professionnelles du
consentement, du consentement marchandé, s’entend ? Certaines, comme
Anna-Aude Caouette, répondent certes. La porte-parole de Stella, un
organisme
« par et pour les travailleuses du sexe » — oui, elle en est elle-même… —, schématise :
« On
est des personnes qui échangent ou vendent des services sexuels contre
rémunération, qui comprennent qu’il y a un contrat qui lie deux
personnes. Un contrat débutant par une négociation sur les services qui
peuvent être performés, sur la rétribution — argent ou biens —, et sur
le sécurisexe », a-t-elle expliqué lors de l’entrevue téléphonique accordée il y a quelques jours au
Devoir. Madame Caouette croit donc que la négociation de consentement se pratique davantage et plus clairement là qu’ailleurs.
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