Lu sur
Basta! : "La planète, nouvel objet à but lucratif ? Demain, des ONG pourront
acheter des quotas de baleines pour les protéger. Les parcs naturels
pourront être évalués par des agences de notation. Les performances des
forêts en matière de recyclage du carbone seront quantifiées. Des
produits financiers dérivés vous assureront contre l’extinction d’une
espèce.
« Nous sommes en train d’étendre aux processus vitaux de la
planète les mêmes logiques de financiarisation qui ont causé la crise
financière », dénonce le chercheur Christophe Bonneuil, à la veille de la conférence Rio+20. Entretien.
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