Lu sur
Il n'y a pas d'alternative : "La crise fait rage, mais le débat n’avance pas. La
seule solution qui émerge, se serrer la ceinture pour payer les banques.
Mais n’est ce pas la définition même de la crise : « quand le vieux se
meurt et que le jeune hésite à naître » ? Sauf que cette fois la formule
d’Antonio Gramsci ne fonctionne pas : les économistes hétérodoxes, les
Lordon, Sapir, Gréau… ont des solutions. Le vrai problème : ils ne sont
pas entendus. Est-ce surprenant ? La finance contrôle le débat
économique.
Lire la suite
ici