Classe dominante et oligarchie contre peuple souverain et peuple-classe.
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Mouvements : "Dictature des marchés" puis plus récemment "dictature des créanciers" :
le discours contestataire de ces dernières années ne montre plus du
doigt seulement des institutions politiques internationales comme
l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), le Fond Monétaire
International (FMI), la Banque mondiale ou des structures économiques
comme les firmes transnationales, il porte aussi contre des dispositifs
abstraits qui surplombent les peuples. A ce pouvoir-là on attache
parfois le nom de grandes banques ou le nom d’individus aussi influents
que secrets ; du moins jusqu’à ce que des "affaires" éclatent au grand
jour face au travail d’investigation des journalistes indépendants, non
soumis à l’oligarchie régnante. Comment caractériser cet antagonisme ?
Doit-on faire appel à la notion de "classe" (sociale) ? Ou plutôt celle
de "peuple" ? Mais alors, comment éviter de tomber dans une conception
"fermée" de la communauté, grosse de nationalisme ? Parler de
"peuple-classe" peut peut-être nous aider à sortir de l’ornière.
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