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Rue 89 : "Greenpeace dénonçait le stockage d'uranium appauvri en Sibérie. L'entreprise refuse d'admettre que l'ONG a eu gain de cause. Des militants Greenpeace protestent contre l'importation de déchets nuéclaires, le 13 avril 2010 (Alexander Demianchuk/Reuters).
Fortuitement, Greenpeace vient de se rendre compte que l'une de ses batailles les plus importantes était gagnée. L'association écologiste, qui se bat depuis de nombreuses années pour que la France mette fin à cette filière d'exportation d'uranium appauvri vers la Russie, a découvert dans le coin d'une page du site Internet d'Areva, que « la date de fin de ces contrats a été publiquement annoncée dès 2006. » Ce qui est faux.
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