Lu sur
le Figaro : Tout en réclamant plus de moyens pour l’égalité hommes-femmes, la
militante a créé son entreprise, Egae, qui dispense des formations de
lutte contre les violences sexuelles. Un conflit d’intérêts qui ne
semble pas gêner une activiste aux méthodes de «cancel culture», qui
adopte les slogans de l’intersectionnalité.