Lu sur le blog de Floréal : « … personne ne peut imaginer ce que sont les soirs dans les prisons »
Albert Camus, extrait de L’Etranger
« Meursault, pour moi, n’est donc pas une épave, mais un homme pauvre
et nu, amoureux du soleil qui ne laisse pas d’ombres. Loin qu’il soit
privé de toute sensibilité, une passion profonde, parce que tacite,
l’anime, la passion de l’absolu et de la vérité. Il s’agit d’une vérité
encore négative, la vérité d’être et de sentir, mais sans laquelle nulle
conquête, sur soi et sur le monde, ne sera jamais possible »
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