Lu sur
Basta! : "Syriens, Afghans ou Érythréens, ils fuient des conflits ou des
persécutions. Ils sont plus de 500 à vivre dans des camps de fortune sur
le port de Calais et aux alentours, attendant de passer en Angleterre
ou de recevoir une réponse à leur demande d’asile en France. Leurs
conditions sanitaires catastrophiques favorisent le développement
d’épidémies de gale. En parallèle d’une expulsion de ces bidonvilles, la
préfecture a proposé une prise en charge médicale. Dans des conditions
profondément indignes. Témoignage.
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