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Passeurs d'hospitalités : "La coutume a commencé à s’installer à la suite de
l’expulsion des derniers campements du centre-ville, le 21 septembre 2015.
Les policiers avaient alors bombardé le bidonville de Calais de grenades lacrymogènes, après avoir gazé les exilé-e-s qui essayaient de monter sur l’autoroute. Ces
bombardements au gaz sont devenus quasi-quotidiens, soit à l’occasion de tentatives de passage, mais aussi d’une gratuité parfaite,
comme à minuit le jour de l’an.
Il s’agit de mettre dans une situation d’insécurité permanente les
personnes qui s’abritent dans ce lieu où les autorités avaient dit
qu’elles seraient tolérées, et où des associations trop crédules avaient
participé à les emmener.
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