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Indymédia Paris :
"Un chantier Bouygue a été occupée à Dijon, mettant les ouvriers,(pas mécontent), aux chomages techniques. Deux immences banderoles ont été déployés sur la grue, elles appellaient à"bloquer l'économie et "liberez les inculpé(e)s". Un chantier Bouygue a été occupée à Dijon, mettant les ouvriers,(pas mécontent), aux chomages techniques. Deux immences banderoles ont été déployés sur la grue, elles appellaient à"bloquer l'économie et "liberez les inculpé(e)s". Dijon,le jeudi avril, une manif lycéen et étudiant et apellé à 15heures place de la république. Au bout du boulevard, à une centaines de metres les manifestants voient deux banderoles géantes accrochées à une grue de 30 metre de haut.
Un groupes d'une trentaines de personnes est déja en bas de celle ci, à differ ce tract :
Pourquoi occupons nous le chantier du Centre des affaires ?
Nous bloquons aujourd'hui la grue du chantier Bouygues du Centre des affaires comprenant la nouvelle chambre de commerce et d'industrie, ainsi qu'un Hotel Ibis. Pour soutenir les inculpé-e-s des mouvements sociaux :
La coordination nationale étudiante a appelé cette semaine à une journée nationale d'actions de soutien aux inculpé-e-s. Si nous avons choisi dans ce cadre de bloquer un chantier Bouygues, c'est parce que cette multinationale se nourrit de la répression et de la mise en place d'une société sécuritaire en construisant des prisons et des centres de rétention pour sans-papiers. D'ailleurs les Hotel Ibis sont couramment utilisés comme geôles pour les expulsions de ces derniers. La réponse policière face à la détermination du mouvement social actuel est de plus en plus violente avec de nombreuses arrestations et des peines de plus en plus lourdes. Pourtant les actions continuent à se multiplier : manifestations, occupations, bloquages des axes de circulation, déménagements, détournements ou peinturlurages de lieux et objets liés au gouvernement ou à la domination économique, résistance à la police, assemblées, débats... Cette diversité partout en France est notre force ! C'est d'une manière générale, l'addition de ces actions qui crée un large mouvement de contestation qui va pour beaucoup au-delà du CPE et remet plus généralement en cause un système sicial qui génère inégalités, discriminations et précarité. Nous ne laisserons pas l'Etat et les médias diviser le mouvement en faisant le tri entre les "bons" et les "mauvais" manifestantEs, entre "jeunes des banlieues" et "lycéenEs/étudiantEs". Nous ne laisserons pas nos compagnon-e-s de lutte aux mains d'une institution carcérale qui ne fait que détruire, humilier et distiller la peur.
Pour bloquer l'économie
Si nous ralentissons la construction de la nouvelle Chambre de Commerce et d'Industrie, c'est :
parce que c'est notamment dans ce type d'institution que l'Etat et les patrons collaborent pour mieux nous exploiter. parce que pour faire plier un gouvernement qui n'entend que le langage de l'argent, il nous faut maintenant tenter de paralyser les activités économiques du pays. Ces actions s'étendent, hier par exemple dans de nombreuses villes de l'ouest les zones industrielles et commerciales, les entrées des villes et tris postaux ont été fermés par des manifestations, barrages et barricades.
Nous resterons actifs et solidaires !
La manif se rend alors au pied de la grue,incité par des gentes qui nous disent qu'il ya la police en bas et les gentes, en haut,spontanément tous parte (sauf les militants Unef locaux qui appellent à respecter l'itinéraires déposées en prefectures).
Nous apprennons alors qu'une dizaines de personnEs sont entrée dans le chantier vers une heure et ont aussi tot pris d'asseau la grue, contraignant le chantier à stopper.Les ouvriers que nous retrouvons devant ne sont pas mécontant de cette demi journée libre au frais du patron. La police est sur place depuis 14 heures... et ne peut rien faire. Elle se contente d'attendre les bloqueur/euses pour pretend elle un un simple controle d'identité. Une partie des manifestants entre alors dans le chantier et forme un couloir reliant la grue à la manif, une dizaines de formes humaines masquée se faufilent entre les gentes. la police n'aura même pas un nom,ni un visage. La manif repard alors de plus belle