Lu sur
Planète sans visa : "J’avais annoncé en janvier que je comptais réfléchir au futur conditionnel de Planète sans visa avant de vous donner quelques nouvelles le 1er mars. Eh bien, je le ferai demain, et non pas aujourd’hui. Car aujourd’hui, je voudrais vous dire deux mots qui me paraissent préalables. Je sais qu’ils ennuieront plus d’un lecteur, qui se moquent bien de la question que je vais évoquer. Mais je n’y peux rien.
Comme on sait, la droite commande ce pays. Comme on sait, la gauche social-démocrate entend la remplacer demain. Comme on devrait savoir, il n’y aura jamais aucun espoir à attendre de ce côté-ci de ce qu’on appelle l’échiquier. Ni de l’autre. Ni d’aucun. Bon, je dois me montrer un poil plus précis. Je le ferai en sept points, qu’on pourra juger indépendamment les uns des autres. Pour moi, ils forment une cohérence. Ils donnent un sens évident à l’époque dans laquelle nous sommes tous fourvoyés. Mais jugez.
Lire la suite
ici