Aristide Bruant: "A Biribi".
Lu sur
histgeobox : "Après
la suppression des galères sous Louis XV, les bagnes de Rochefort et
Toulon sont voués à l'exécution de la peine des travaux
forcés. A partir des années 1840, la peur s'insinue auprès des
populations civiles qui redoutent la présence de ces milliers de
forçats regroupés dans les arsenaux. A l'instar des Anglais qui
déportent des milliers de condamnés vers l'Australie, Napoléon III
décide de l'exil définitif de ceux qui bafouent gravement la loi. Le
choix se porte alors sur la Guyane, que l'on espère développer grâce à
l'afflux de réprouvés dont le travail permet de surcroît le rachat de
leurs fautes.
Au
XIXè siècle, le début de la conquête coloniale fait de l'Afrique du
nord une nouvelle zone de relégation. L'armée française y implante des
bagnes militaires qui lui permettent de se débarrasser de ses "mauvais
sujets".Lire la suite
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"Les fortes têtes, on les mâte mon gaillard." Illustration de Maurin dans Les Temps Nouveaux en 1910.
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