Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

Pour nous contacter : endehors(a)no-log.org



D'où venons-nous ?


Nos références
( archives par thèmes )


Vous pouvez nous soutenir en commandant nos brochures :

Les éditions de L'En Dehors



Index des rubriques

Les collaborateurs et collaboratrices de l'En Dehors

Liens

A noter

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

La vie des grands Fauves

Fançoise Gri, PDG d'IBM France : «L'entreprise a besoin de diversité» J'adorerais dire que, oui, bien sûr, les femmes font de meilleurs chefs!

Mais ce n'est pas si simple. Un chef, quel que soit son sexe, doit faire preuve d'un certain nombre de compétences: il doit savoir définir une stratégie, y rallier ses collaborateurs, gérer, communiquer, travailler en équipe, etc. Toutefois, le leadership au féminin présente des caractéristiques particulières. Les femmes sont plus concrètes, plus orientées vers l'action. Il leur importe avant tout que les choses se fassent, que les projets aboutissent. Elles font preuve de davantage d'empathie, ce qui facilite le travail en commun. Elles sont plus à l'aise que les hommes dans le franc-parler et ne s'accommodent pas facilement de l'ambiguïté. Autant de qualités que les formes nouvelles d'organisation des entreprises, moins calquées sur des schémas hiérarchiques rigides, valorisent.

Aujourd'hui, l'entreprise ne peut plus être repliée sur elle-même. Or pour être ouverte et créative, elle a besoin de diversité. Voilà pourquoi il faut que les femmes, mais aussi les autres cultures, y soient mieux représentées.

Françoise Gri cause au Sénat

La flexibilité de l'économie est un autre atout majeur dans la compétition internationale pour attirer les flux d'investissements. Or, à cet égard, investir en France est souvent considéré comme un « piège », en ce sens que les coûts de sortie de l'investissement sont très élevés. Une fois réalisé, l'investissement devient presque irréversible. Le coût et la longueur, supérieure à 200 jours, des procédures de licenciements collectifs sont particulièrement mis en cause. La lenteur des procédures sociales est jugée inadaptée au rythme rapide de la vie des affaires.

Mme Françoise Gri a conclu son intervention en indiquant qu'un engagement clair en faveur de la baisse des dépenses publiques serait un signal apprécié par les investisseurs internationaux. Un tel engagement rendrait en effet crédible la perspective d'une baisse durable des prélèvements obligatoires.

François cause au MEDEF

Etre ouvert aux raisons du changement.
Certaines périodes ont été marquées par l'obscurantisme. Ainsi, dans les années 1990, IBM avait un énorme décalage par rapport au marché. Céest donc une transformation de rattrapage qu'il a fallu adopter. Il a suffi d'observer la concurrence pour comprendre ce qu'il était possible de faire et rallier le marché. Un recentrage sur les services a été effectué. Pour étre plus proche des clients, l'organisation a été revue de maniére matricielle. Aujourd'hui les changements sont des transformations d'anticipations. L'objectif reste de s'adapter au marché en anticipant les demandes des clients, les technologies, les économies possibles. En 2004 les profits d'IBM ont été historiquement élevés, la difficulté a été d'expliquer aux collaborateurs que malgré ces bons résultats nous ne devions pas rester dans une zone de confort mais relancer des transformations.


IBM recentre son portefeuille déactivités vers du conseil pour accompagner le changement dans les entreprises. Son organisation est revue pour coller au plus prés du comportement de ses clients et adapter son offre , leurs métiers. L'entreprise se désengage de son activité de microinformatique et se décentralise. Les offres ne sont plus mondiales mais locales avec des compétences mondiales. La principale difficulté consiste à amener les collaborateurs de sortir de leurs zones de confort. IBM s'appuie sur les valeurs fondamentales de l'entreprise définies par les collaborateurs !
Sens du client, innovation et éthique. Dans une politique d'investissement, les possibilités de restructuration et de changement doivent étre prises en compte. C'est la raison pour laquelle les investissements étrangers ne sont pas suffisants en France. Les restructurations y sont beaucoup trop chéres.

Arrête de me faire rire !



Ecrit par didier2, à 22:29 dans la rubrique "Actualité".



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom