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Histoire du mouvement anarchiste en Bulgarie
--> Iztok 4, septembre 1981, p.3-9

Lu sur La Presse Anarchiste : Gueorgui Balkanski - et un collectif - vient d’éditer une brochure en bulgare sous ce titre à Paris en 1980 aux éditions « Nas Pat » (Notre Route), 107 pages. Le peu d’ informations publiées sur ce thème ne peut que nous faire accueillir avec plus de plaisir cette brochure qui doit être éditée en français. [1]

L’auteur trace en 9 pages l’histoire du mouvement, en la divisant en sept périodes : précurseurs et initiateurs ; le mouvement révolutionnaire de libération de Macédoine ; la création des premiers syndicats ; début de la propagande anarchiste ; antimilitarisme, guérilla, terrorisme ; organisation du mouvement anarchiste du pays ; organisation anarchiste sur la base d’une plate-forme ; période après l’instauration de la dictature bolchevique jusqu’à nos jours.

Viennent ensuite une série de biographies avec des portraits qui d’un point de vue iconographique sont d’une grande rareté, 47 pages. Puis nous avons une description de la presse libertaire de 1898 à 1980, avec la reproduction des titres, 23 pages. Enfin une brève évocation des éditions de livres et brochures de 1889 à nos jours, 5 pages. Enfin, l’ouvrage se termine par 13 pages insistant plus sur le syndicalisme, le mouvement de libération nationale et révolutionnaire, l’action coopérativiste, les activités culturelles, pédagogiques et théâtrales, le mouvement non étatique, la lutte contre la monarchie et la guerre, la guérilla, et une partie intitulée : « Face à l’alternative historique : le fascisme ou la révolution » divisée en une section générale puis « La lutte étudiante contre le professeur Tsankov », « La révolution espagnole » et « Enseignements pour nous et les autres ». Cette dernière partie souligne l’importance de l’organisation du mouvement anarchiste et le fait que si la Bulgarie est le seul Pays de l’Est où l’anarchisme n’ait pas été anéanti, celà est dû aux rapports étroits avec le peuple. L’organisation anarchiste pour la révolution sociale est « étrangère à l’individualisme et l’irresponsabilité des gens pour qui les idées sont un sport innocent et un objet de confort intellectuel et esthétique ou de spéculation purement philosophique. Espérons que ces leçons soient renforcées par l’expérience ! »

Cette brochure est éditée par des membres de l’UAB qui représente la branche en exil de la Fédération Anarchiste Communiste de Bulgarie (FACB). Remarquons que comme toutes les organisation d’exilés, les rapports exil-camarades de l’intérieur sont très difficiles et qu’avec le temps des points de vue différents peuvent apparaître sur certaines questions. De plus, en exil même, des publications différentes naissent qui, tout en étant libertaires, abordent des aspects distincts de la propagande : ainsi « Nas Pat » (Notre Route) se veut plus doctrinaire et « Iztok » (en bulgare) aborde des thèmes variés.

Il est du reste dommage qu’une organisation ne donne presque rien sur son activité contre le régime marxiste-léniniste depuis 1944, mis à part l’aide aux internés anarchistes au début du régime, un congrès clandestin en août 1946 avec 50 délégués représentant environ 400 groupes. On chercherait également en vain une vision précise du nombre de camarades à telle ou telle époque ou dans les syndicats libertaires ou les coopératives. Sauf le nombre des volontaires en Espagne, les chiffres manquent. On ne peut que regretter aussi dans les biographies l’absence de certains camarades comme Stefan Manov, Bogdan Stefanov, Miliou Ivanov sur lesquels nous allons revenir par un biais « dialectique ». [2]

Nul n’est plus qualifié qu’un marxiste bulgare pour juger du péril de l’anarchisme bulgare. L’étude passée de Dontcho Daskalov publiée dans un but de propagande anti anarchiste contient cependant un matériel intéressant. Il s’agit de « L’anarchisme en Bulgarie et la lutte du parti contre lui » (en bulgare), Sofia, Partizdat, 1973, 224 pages, tirage de 1.300 exemplaires (officiellement, mais le livre a été retiré de la vente au bout de quelques jours). [3]

Le premier chapitre reprend la position marxiste-léniniste sur l’anarchisme en 69 pages. Le deuxième aborde l’anarchisme bulgare comme une création des anarchistes étrangers pour lutter contre la révolution russe de 1917. Cette démarche est non seulement débile historiquement mais fausse d’un point de vue marxiste puisque déjà en 1906 le futur fondateur du PC bulgare Dimitar Blagoev se plaint de la vision proudhonienne et utopiste du fondateur spirituel de l’État bulgare, Khristo Botev. [4] Malgré la faiblesse historique du départ, ce chapitre de 138 pages donne des renseignements intéressants : le congrès anarchiste de Yambol en mars 1923 rassembla 104 délégués de 89 organisations (attaqué par l’armée qui tua 26 camarades) ; selon la police vers 1924 il y avait 848 militants anarchistes et 2500 sympathisants (on était en pleine répression et activité de guérilla). L’auteur donne aussi une citation de Tsola Drogoytcheva, une sorte de Maurice Thorez bulgare : « Dans notre région, les maquis anarchistes agissaient dans la montagne de Koprivtchitsa. Et la vérité oblige à reconnaître qu’ils agissaient avec un courage fou, infligeant à l’ennemi des coups douloureux, après lesquels ils disparaissaient vite et aucune battue de l’ennemi n’était en mesure de ttrouver leurs traces, les atteindre et les détruire. Les deux meneurs de ce groupe illégal, Vassil Ikonomov et Vassil le héros, sont devenus presque légendaires par leur intrépidité dans le combat et par leur sang froid face à la mort. »

Le deuxième chapitre de 44 pages traite la période 1925-1944 et note un renouveau de l’anarchisme au niveau de la propagande qui culmine dans les années 1931 à 1934 grâce à une libéralisation qui toucha toute la gauche, avec la publication de 60 titres anarchistes et plusieurs revues. On note un développement de l’anarcho-syndica1isme comme suite au renouveau de la CNT en Espagne à partir de 1930. Mais deux positions existent : une propagande avec la gauche y compris les communistes - attitude qui se manifesta déjà pendant la guérilla des années 23-25 - et à l’opposé une tendance excluant ce rapprochement. Quant aux anarcho-communistes, ils sont critiqués par les syndicalistes des deux tendances parce que trop intellectuels.

Il faut se reporter à l’article de P.Svobodin publié en espagnol pendant la guerre d’Espagne pour avoir une vision claire [5]. Au passage, Svobodin indique que dans les années 20-23, l’hebdomadaire « Rabotnitcheska Missa1 » (La Pensée des Travailleurs) tirait à 12000 exemplaires et la revue théorique mensuelle « Svobodno Obchtestvo » (Société Libre) avait 4500 abonnés. En septembre 1933, les 7, 8, et 9, la Fédération Anarcho-Communiste Bulgare (FACB) fut créée avec 5 régionales et des groupements paysans, des coopératives de production et de consommation, des communautés libertaires, des organisations culturelles... On le voit, « l’intellectua1isme » selon le communiste Daskalov des anarcho-communistes est à nuancer.

Les années 1936-1939 furent centrées sur la guerre d’Espagne, moteur de la propagande des anarchistes et des communistes, et reflet des polémiques entre la tactique libertaire et la tactique autoritaire. Le PC bulgare envoya, plus exactement obligea, une partie de ses cadres émigrés en France à participer à la guerre dans les Brigades Internationales et des « techniciens » bulgares formés depuis plusieurs années à la lutte armée en URSS furent envoyés là-bas, comme soviétiques. L’Espagne allait devenir un point brûlant de la lutte entre anarchistes et marxistes en Bulgarie en 1944, comme on va le voir.

En 1939-1940, un certain nombre de camarades, dont certains revenus d’Espagne, proposèrent à un congrès clandestin notamment de lancer des maquis contre le gouvernement pro-nazi. Ils ne furent pas suivis [6]. Et en 1941, les communistes prirent l’initiative de la guerilla avec la rupture du Pacte Hitler-Staline. Pour Daskalov, les anarchistes furent isolés pendant les années 1941-1944, mis à part la participation d’une cinquantaine de camarades (selon les chiffres de Daskalov). Il n’y a que très peu de chose dans Balkanski sur ce moment.

Pour la période 1944-1953, on peut s’appuyer sur Daskalov qui lui consacre son quatrième et dernier chapitre, 23 pages, complétée avec les informations publiées en France par les émigrés. En toute simplicité le chapitre en question s’appelle « l’opposition anarchiste après le 9-IX et sa liquidation ».

Selon l’auteur les anarchistes, bien que peu nombreux, avaient des « groupes très actifs » qui diffusaient de la propagande libertaire, des livres, des tracts contre le régime, contre la terreur dans l’Espagne franquiste, pour la liberté de la presse. Ils n’acceptent aucunement l’État prolétarien ( !). Ils défendent le troisième front contre la bourgeoisie et le parti communiste. En février 1946, un membre du Comité Central Dimitar Ganev déclare qu’il faut limiter les anarchistes, « dévoiler leur misère idéologique... parce qu’il n’y a pas de théories plus révolutionnaire que le marxisme-léninisme ». Dans les villes et les villages où les anarchistes sont implantés, des réunions publiques sont organisées. Comne à Doupnitsa (depuis Stanke Dimitrov) à Pavel Bania, à Sofia, à Kilifarevo « et ailleurs ». A ce propos, Daskalov souligne qu’à Pavel Bania l’organisateur de la réunion avait participé à la guerre d’Espagne et que « pour lui donner la réplique les anarchistes avaient appelé de Sofia un des libertaires les plus connus, originaire de ce village ». On peut ajouter que c’était Ivan Ivanov Radtchev et que le marxiste n’était autre qu’un ex-officier soviétique et membre important du régime Ruben Levi, qui refit sa conférence plusieurs fois et qui se retrouva plusieurs fois avec les mêmes « colles » sur mai 1937, les collectivisations, etc...

Durant les six premiers mois de 1947, vu l’intensification de la propagande anarchiste contre l’État communiste et les appels à « l’action directe », le gouvernement « prit des mesures sociales contre elle. A Sofia, Doupnitsa, Sliven, Nova Zagora et ailleurs des arrestations d’anarchistes ont lieu. » Les anarchistes libres lancent les slogans « au combat hardiment », « appel contre l’ennemi », « contre les atrocités des patrons et des partisans de l’État sur le dos des travailleurs ». Alors le Comité Central du PC décide de liquider l’opposition bourgeoise et les anarchistes « les plus connus et de les envoyer en camps de réeducation » (trudovoizpravitelni lagueri) ; d’autres émigrent. En effet les anarchistes obtenaient des résultats. Fin 1947 et début 1948 on a connaissance de deux grèves dans l’industrie du tabac, à Plovdiv et à Hascovo. Dans le cas de la grève de Plovdiv, les anarchistes n’y ont pas participé particulièrement mais ils étaient présents. La grève fut victorieuse et le chef de la Police l’attribua dans son rapport aux anarchistes. A Hascovo, la grève fut nettement influencée par les anarchistes [7].

En 1953, Daskalov mentionne un groupe de maquisards parachuté par la CIA dans la région de Pavel Bania, province de Kazanlak, avec un radio-émetteur qui émit pendant quelques mois. Nous pouvons ajouter que cette action consistait à se servir du matériel et du potentiel de la CIA pour la propagande anarchiste. Du reste, dès que les américains comprirent qu’ils ne pouvaient manoeuvrer les maquisards, ils ne leur fournirent plus aucune aide Ces camarades étaient trois : Bogdan Stefanov, Miliou Ivanov et un autre firent pendant six mois leur action anarchiste de septembre 1953 à mars 1954 où une offensive de l’armée les obligea à fuir. Les deux premiers se sacrifièrent pour que le troisième et sa fiancée échappent à l’encerclement, puis par des amitiés diverses, réussissent à passer la frontière, ce qui entraîna bien des arrestations. Cette action divisa l’émigration mais aujourd’hui encore elle reste dans les mémoires comme exemple de lutte armée contre le régime, pour la libre organisation des masses.

En 1956, le 5 novembre très exactement, c’est à dire au moment de la seconde intervention russe en Hongrie, la police opère des arrestations massives, notamment dans les milieux anarchistes, pour prévenir toute contagion [8]. Enfin en 1962 Daskalov cite un groupe dans la province de Stara Zagora, formé par un anarchiste récemment libéré de prison. « Il réussit à influencer 7 personnes de la ville et 6 autres d’un village proche,, des anciens anarchistes, des opposants, des jeunes abusés. Ils se donnèrent un programme « d’union » qui avait pour tâche d’unir « tous les anticommunistes » dans la luttre contre l’État par tous les moyens ». Le groupe se munit d’armes, fusils, pistolets, bombes et ronéos. Ils essayèrent d’entrer en contact avec les anarchistes de Hascovo et Velingrad. » Nous ne savons pas jusqu’à quel point ces faits sont authentiques, mais un détail a échappé à Daskalov : la force de l’influence d’un anarchiste, même après l’emprisonnement, même seul... On a connaissance d’un document qui date de la même année et qui montre aussi que l’influence anarchiste est toujours vivace à cette date : il s’agit de la fiche de police de l’anarchiste Alexandre Metodiev Nakov. A cette époque il se réunit souvent avec plusieurs anarchistes de sa région et il profite de ses vacances pour faire un tour de Bulgarie par le train ce qui lui permet de rencontrer d’autres anarchistes : à Sandantski, à Debeletz, à Kneja, à Kolovgrad et à Varna où il rencontre « trois anarchistes actifs ». Quant à son groupe il comprenait sept personnes [9].

En 1967 la Sûreté d’État découvre un groupe conspiratif. L’anarchiste Taniou Ivanov Garnev fait partie de ce groupe et il est condamné à 15 ans de prison [10]. En novembre 1969, sept étudiants sont arrêtés pour activité anti-socialiste et distribution de tracts. L’un d’eux, Germinal Tchivikov, fils d’un militant anarchiste, avait en sa possession le livre de Gaby et Dany Cohn-Bendit « Le gauchisme, maladie sénile du communisme ». Ils sont condamnés à de lourdes peines et Christo Kolev Jordanov, un vieux militant libertaire très connu, est également inquiété à cette occasion [11]. En décembre 1974, nous avons transmis l’information sur l’arrestation de nombreux anarchistes, dont Christo Kolev Jordanov et Alexandre Metodiev Nakov déjà cités, à Kustendil, Pernik, Stanke Dimitrov, Sofia, Stara Zagora, Hascovo, Plovdiv, Varna et dans des villages et la saisie de brochures éditées il y a trente et quarante ans. Vingt-cinq camarades avaient été interrogés et six camarades furent condamnés à cinq ans de déportation sous stricte surveillance. D’autres furent obligés de remplir des déclarations où ils s’engageaient à ne pas faire de propagande anarchiste [12].

En 1978, un camarade expliquait dans une lettre : « après chaque arrestation chacun est soumis aux mêmes questions stéréotypées : « Êtes vous anarchiste ? Quels sont les anarchistes de votre ville, votre arrondissement et votre région en général ? Quels sont à votre avis les conditions favorables au développement de l’anarchisme en Bulgarie ? Que pensez-vous de la détente ? Quel type de contact avez-vous avec les étrangers ? » [13]. En 1979, une semaine avant une augmentation des prix, une trentaine d’anarchistes sont arrêtés puis libérés après dix jours de détention. Le pouvoir a toujours aussi peur des anarchistes, même si c’est peut-être présumer de leur influence présente [14].

Il n’est pas raisonnable de parler de la situation actuelle mais on constate que le mouvement anarchiste bulgare a de solides racines de lutte contre l’oppression fasciste et l’État marxiste-léniniste. Et c’est un mouvement qui a connu des épisodes qui méritent d’être connus des camarades des autres pays.

Dimitrov

BIBLIOGRAPHIE

Sur l’anarchisme bulgare, il existe assez peu d’ouvrages en français. Il faut signaler « Un centenaire bulgare parle » de Nicolas Stoinoff (ed. Notre Route,. 1963) et « G. Cheitanov » de G. Balkanski (ed. Notre Route, 1965) qui sont riches de renseignements sur les débuts du mouvement libertaire bulgare jusque dans les années trente. Pour les persécutions contre la FACB après 1944, il existe une brochure « Les bulgares parlent au monde » (éditée par le comité d’Aide aux Anti-fascistes de Bulgarie, 1949). Ces ouvrages sont devenus rares, mais on peut les trouver à Paris à la librairie Publico, 145 rue Amelot ou à la librairie Le Jargon Libre, 6 rue de la Reine Blanche. La brochure de Balkanski « Histoire du Mouvement Libertaire Bulgare », « Esquisse » est annoncée dans la collection « Volonté Anarchiste » (V. A., Groupe Fresnes-Antony, 34 rue de Fresnes, 92160 Antony). Enfin la critique la plus virulente du régime depuis 1948 a été faite dans une brochure « La répression en Bulgarie » (1976) du camarade Yanatchkov que nous avons rééditée et complétée en 1978 qui décrit les internements en clinique psychiatrique et la campagne raciste contre les musulmans bulgares.

[1] Voir la bibliographie pour les références.

[2] Voir aussi Iztok en bulgare.

[3] On peut consulter ce livre à la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine de Nanterre.

[4] Voir la reproduction d’un texte inédit de Christo Kakaktchiev « Dimitar Blagoev et le parti des socialistes étroits », Sofia, 1979 en bulgare.

[5] « Timon » de Barcelone, N°5, novembre 1938

[6] Témoignage oral de Stefan Manov

[7] « Le mouvement libertaire bulgare » G. Balkansli, conférence dactylographiée disponible au CIRA Genève (1958)

[8] « Le Monde Libertaire », février 1957

[9] Bulletin de la CRIFA N°28, février 1980

[10] Tract édité en France en 1979 à l’occasion d’un procès de droit commun falsifié qu’on lui a intenté en 1977.

[11] Voir la biographie de Jordanov dans la brochure « La répression en Bulgarie » de Kiril Yanatchkov

[12] Tract d’information publié en France sur cette affaire.

[13] « Industrial Defense Bulletin » du syndicat IWW de Toronto, 1978

[14] Bulletin de la CRIFA N°29 Mars-Avril 1980

Iztok 4, septembre 1981, p.3-9 La Presse Anarchiste

Lire : Le mouvement anarchiste Bulgare

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En lien : Bulgarie : AnarchoRésistance à Sofia

Ecrit par Mirobir, à 04:18 dans la rubrique "Pour comprendre".



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