Lu sur
Basta ! : "Après trois jours en centre de rétention sous le coup d’une mesure
d’expulsion pour avoir participé à une manifestation en soutien au
migrants à Calais, trois étudiantes italiennes ont finalement été
relâchées. Sur fond d’état d’urgence, l’exécutif fragilise le pouvoir
des juges afin de mettre la pression sur des manifestants étrangers, y
compris Européens. « Ce cas illustre bien la manière dont l’autorité
administrative fait fi des décisions judiciaires voire contourne la
justice pour appliquer sa propre répression », explique l’universitaire
Vanessa Codaccioni.
Lire la suite
ici