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LE SOUVERAINISME EN SLIP

Lu sur Yannis Youlountas : "Suite à mon texte « Le piège du souverainisme dans la débâcle grecque », voici quelques réponses à diverses questions ou remarques…

LE SOUVERAINISME EN SLIP

1 – A quoi reconnaît-on un homme politique souverainiste ?

a) Il se prétend le plus souvent « ni droite ni gauche » (comme la moitié des politiciens de droite, ce qui est parfois très drôle, par exemple quand il est démasqué par ses éléments de langage et autres marqueurs politiques).
b) Il est champion toutes catégories en retournement de veste (plusieurs CV sont accablants) et, le cas échéant, en abandon des promesses électorales (dernier exemple en date avec les « Grecs indépendants », principal parti souverainiste en Grèce, aussi appelé ANEL, qui soutient joyeusement l’austérité en échange d’un deuxième portefeuille ministériel, à la différence de Syriza qui est en crise et qui va scissionner) ;
c) Il se pose en « sauveur de la nation face aux instances supranationales » jugées seules responsables des maux qui s’abattent sur le pays ;
d) A ce titre, appelant au rassemblement tous azimuts autour de sa personne, il appelle à « ne pas se désunir » (union entre les classes dominantes et dominées au prétexte de la coexistence sur un même territoire, face à un ennemi commun, exactement comme en temps de guerre), à « éviter les conflits sociaux » (donc pas de lutte de classes) et à « faire les bons choix dans l’intérêt de tous » (car l’élu national du peuple souverain sait ce qui est bon pour « son peuple », même à son insu, et ne pense qu’à l’intérêt général en amalgamant toutes les situations sociales, même les plus antagonistes).

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Ecrit par libertad, à 14:22 dans la rubrique "International".



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