Joueb.com
Envie de créer un weblog ? |
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web. |
"À travers ses lettres, Toussenot, le Philosophe, provoque intellectuellement Brassens, le Poète.
Au fond de l'impasse Florimont, chansons et coups de gueule baignent d'insolite la misère quotidienne.
Accompagné de sa Muse, reflet espiègle de son imagination, Georges
Brassens dévoile les contours de son univers poétique et libertaire."
Ces lettres, ici adaptées et mises en scène pour le théâtre, sont un trésor de littérature intime d'un poète doté d'une âme soignée, d'une grande pudeur et dont la renommée n'est plus à faire.
Voir ici une vidéo de présentation du spectacle
Commentaires :
kuriakin75 |
Lire les lettres à ToussenotEt pour ceux qui veulent lire toutes les lettres écrites à Roger Toussenot entre 1946 et 1950, elles ont été éditées en 2001 par les éditions Textuel (224 pages, 21,19 euros).
Voir sur le site de ces éditions : http://www.editionstextuel.com/index.php?cat=020403&id=102 Texte de l'éditeur : Georges Brassens, Janine Marc-Pezet "Brassens, Lettres à Toussenot 1946-1950" «Tu es l’ami du meilleur de moi-même » confiait Brassens à Toussenot. Ce sont les lettres que le chanteur envoya, entre 1946 et 1950, à son ami Roger Toussenot, philosophe, qui sont ici publiées pour la première fois. Si ce sont leurs convictions libertaires qui les unissent, leur dialogue va bien au-delà. On y découvre les goûts littéraires de Georges Brassens, ses doutes et ses passions alors qu’il est en plein apprentissage de l’écriture… et l’extrême dénuement dans lequel il vivait. Ce recueil permet de pénétrer dans les coulisses de la conception d’une œuvre exceptionnelle grâce à une amitié qui a participé à sa construction. Roger Toussenot, destinataire des lettres, est né à Lyon en 1926, dans une famille modeste. Très tôt, il fut sensibilisé à la politique et au syndicalisme. Ses études furent abrégées à cause de la guerre, mais son appétit de savoir était tel que jamais il ne cessa de travailler ses maîtres, se jouant des plus redoutables abstractions. De Socrate à Bergson en passant par Descartes et Spinoza, de Villon à Paul Fort en passant par Racine et Hugo, il entreprend d’écrire des Fragments, restés dans leur état et jamais publiés, pour revenir à des emplois obscurs de fonctionnaire. Il renonce à vivre en 1964. -- Sur le spectacle, voir aussi : http://fr.ulule.com/brassenstoussenot/ Répondre à ce commentaire
|
à 00:27