Lu sur CIP-IDF : "Dans la nuit du 21 mars, un accord Unedic a été conclu en quinze
minutes après onze heures de suspension de séance et de conciliabules
de couloirs [
1].
Alors que le chômage touche des millions de personnes, comment est-il
possible que les règles de son indemnisation soient dictées dans les
locaux du Medef, sans aucun contrôle démocratique, sans vraies
négociations, sans droit de regard ni de la représentation nationale ni
des principaux concernés ?
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