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L'En Dehors


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Le patronat inflige un camouflet au président de la République

Lu sur le blog de Gérard Filoche : "Même Mme Parisot, qui dit ne plus rien avoir à faire avec le Medef, est ressortie pour crier : « pas de contreparties ». Pour Pierre Gattaz ce serait « suicidaire » de s’engager dans la voie de donner des objectifs chiffrés d’embauche. Le patronat veut bien encaisser les milliards que lui propose le Président de la République mais n’a pas l’intention de rendre quoi que ce soit en retour, ni en emploi, ni en compétitivité. Aucun engagement, rien.

Les patrons dominés par la finance n’ont aucun intérêt à l’emploi : ils utiliseront les « aides » reçues dans l’économie-casino exactement comme les banques l’ont fait depuis 2009.  Le total du bilan des 4 banques françaises les plus importantes représente 400 % du PIB de notre pays (ce qui rend bien dérisoire la comparaison avec la France qui atteint 94,3 % de dette par rapport à son Pib – dette envers ces banques !). Le seul bilan de la BNP-Paribas, à lui seul, est égal à 100 % de ce PIB. Elles vont très bien mais ne font rien pour contrarier la récession de l’économie ni le chômage de masse du pays. Les banques privées « sauvées » par le public ont continué comme avant, elles se sont recapitalisées, elles ont continué à spéculer et, sans aucune reconnaissance, sont revenues aux bénéfices antérieurs, redistribuant des dividendes massifs. 177 banquiers français ont touché en moyenne 1,56 million d’euros en 2012. Ceux de Dexia, qui ont rendu leur banque toxique, se gavent.

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Ecrit par libertad, à 22:05 dans la rubrique "Actualité".



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