Lu sur
le blog de Floréal : « Le lendemain 10 décembre en maints endroits de la première ligne les
soldats durent sortir des tranchées pour ne pas s’y noyer ; les
Allemands furent contraints d’en faire de même et l’on eut alors ce
singulier spectacle : deux armées ennemies face à face sans se tirer un
coup de fusil. […] Français et Allemands se regardèrent, virent qu’ils
étaient des hommes tous pareils. Ils se sourirent, des propos
s’échangèrent, des mains se tendirent et s’étreignirent, on se partagea
le tabac, un quart de jus ou du pinard. Ah ! si l’on avait parlé la même
langue !
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