Lu sur
le blog de Floréal : "Le « DROIT DES PEUPLES à disposer d’eux-mêmes ». Ce mot d’ordre, ce
principe, est généralement énoncé avec des majuscules peu innocentes et
intégré invariablement dans des écrits ou discours ronflants où il
côtoie les mots de « libération », « patrie », « nation », destinés à en
imposer. Les sacrifiés présents ou futurs se doivent en effet d’adopter
cette attitude de respect qui constitue le nécessaire prélude à celle
du renoncement dont le sacré a besoin pour commettre ses exactions à
l’encontre de ceux qu’il réduit au rôle d’instruments. Il convient
d’impressionner ceux dont les gangs qui se disputent les rôles
d’administrateurs de l’espèce humaine veulent disposer afin d’édifier,
de conserver et de développer leurs rackets étatiques.
N’étant pas adeptes des divers stupéfiants utilisés depuis des siècles
pour faire des humains des serviteurs dociles, nous rejetons cette
conception qui vise à nous faire accepter et à nous imposer comme des
faits de nature l’appartenance à des peuples dont le destin serait de se
constituer en nations. C’est-à-dire en États avec leurs armées, leurs
polices, leurs tribunaux, leurs prêtres, leurs entreprises….
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