Lu sur
le blogue du collectif Emma Goldman :
"C’est bien connu, dans le système capitaliste c’est toujours les mêmes
qui écopent. Quand les profits sont aux rendez-vous c’est les grandes
entreprises (PDG, grands patrons, etc.) qui empochent et les
travailleurs/travailleuses ne ramassent aucun bénéfice de leur dur
labeur. À l’inverse, quand les profits ne sont pas aussi élevés que
désiré, c’est les ouvriers/ouvrières qui doivent en payer la note via
des mises à pied, des coupes de salaires, la décentralisation
d’entreprise et encore plus. Pendant ce temps, les grands patrons se
donnent encore d’immenses salaires et des primes de « performance ».
Dans cette ère de recherche du profit à tout prix, où l’argent est plus
important que tout et que les humains sont devenus des pions qui
permettent d’en obtenir plus, certaines personnes se lèvent contre ce
système qui mène tout droit à l’auto-destruction. C’est le cas des
employé-e-s de l’usine d’ArcelorMittal située à Liège, en Belgique. Le
géant de l’acier a annoncé la fermeture à venir d’une partie de son site
(7 lignes à froid sur 12), engendrant par le fait même la mise à pied
de 1 300 personnes. C’est sans compter les 800
travailleurs/travailleuses qui se sont retrouvé-e-s sur le carreau après
la fermeture des hauts fourneaux en octobre 2011 à l’usine de Liège.
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