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L'En Dehors


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Parution d'un livre de John Zerzan:IL CREPUSCOLO DELLE MACCHINE.

Lu sur le Laboratoire : "Pour le débat en cours à la Z.A.D et ailleurs ce n'est pas seulement une question de lutte de territoires 

Parution d'un livre de  John Zerzan à la maison d'édition nautilus italie: le crépuscule de la machine lesrenseignerements ci dessous sont pris sur wikipédia.C'est peut être imparfait il faudrait s'adresser à ce site pour des critiques éventuelles

John Zerzan (né en 1943) est un auteur américain anarchiste, philosophe du primitivisme. Ses travaux critiquent la civilisation comme oppressante dans son essence, et défendent des modes de vie conçus comme plus libres tirant leur inspiration des chasseurs-cueilleurs préhistoriques. Zerzan va jusqu'à critiquer la domestication, le langage, la pensée symbolique (des mathématiques jusqu'à l'art) et le concept de temps.

Ses quatre livres principaux sont Elements of Refusal (1988), Future Primitive and Other Essays (1994), Against Civilization : A Reader (1998) et Running on Emptiness (2002). Zerzan prend longuement la parole dans le documentaire Surplus la consommation par la terreur(2003), visible en ligne

Pensée

Dans ses travaux, Zerzan s'inspire du concept de Theodor Adorno de dialectique négative pour élaborer une théorie de la Civilisation comme résultat agrégé d'un processus d'aliénation. Selon Zerzan, les sociétés humaines originelles de l'époque paléolithique, et aujourd'hui les sociétés similaires comme les Kung, les Bochimans et les Mbuti, vivent selon un mode de vie non-aliéné et non-oppressant fondé sur la société primitive d'abondance, en contact avec la nature. La construction de telles sociétés relèvent d'une forme d'utopie politique, ou tout du moins, d'une intéressante comparaison à partir de laquelle il est possible d'attaquer les sociétés actuelles (en particulier industrielles). Zerzan utilise des études anthropologiques sur de telles sociétés pour fonder sa critique large de nombreux aspects de la vie moderne. Il dépeint les sociétés contemporaines comme un monde de misère construit sur la construction mentale d'un sentiment de manque et de besoin. L'histoire de la civilisation est l'histoire de la renonciation et ce qui s'y oppose n'est pas le progrès. Il s'agit au contraire de la forme d'utopie qui trouve justement sa source dans le mais au contraire l'utopie qui émerge à vouloir en finir avec ce dernier.

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Ecrit par libertad, à 21:08 dans la rubrique "Ecologie".



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