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Aux travailleurs – Léon Tolstoï

Lu sur Le pas de côté : « La propriété foncière doit fatalement disparaître parce que son injustice, sa stupidité et sa cruauté, sont devenues trop flagrantes. » Dans Où est l’issue ?, Aux travailleurs et Le Grand crime, trois textes écrits au début du XXe siècle, Léon Tolstoï dénonce la situation de la masse des travailleurs, exploitée par une minorité d’accapareurs oisifs. Quand les pauvres paysans s’épuisent au travail, les riches propriétaires récoltent. Pour mettre fin à cette injustice, l’écrivain russe défend un principe simple : la terre ne doit appartenir qu’à ceux qui la cultivent. Ainsi les paysans libres et autonomes peuvent répondre directement à leurs besoins, en vivant dans la simplicité et l’entraide, sans être soumis aux industriels ni aux rentiers.

« La possibilité de vivre sur la terre, de s’en nourrir par son travail, a été et restera toujours une des principales conditions de la vie indépendante et heureuse. Tous les hommes l’ont su et le savent, et c’est pourquoi ils ont toujours aspiré et aspireront toujours à quelque chose qui ressemble à cette vie, de même que le poisson recherche l’eau. Or, la doctrine socialiste affirme que, pour être heureux, les hommes n’ont nul besoin de cette vie au milieu des plantes et des animaux, avec la possibilité de trouver dans le travail agricole la satisfaction de presque tous leurs besoins ; non, ce qui leur est nécessaire c’est la vie dans les centres industriels, où l’air est empesté, ce sont des besoins toujours croissants qu’ils ne peuvent satisfaire que par le travail insensé dans les fabriques. [...] La seule chose importante pour les ouvriers détachés de la terre serait de concentrer tous leurs efforts sur les moyens à trouver pour revenir à la vie de la nature, à la vie agricole. »

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Ecrit par libertad, à 18:25 dans la rubrique "Pour comprendre".



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