Lu sur
Le Monde libertaire : "Spéculateurs, agents notateurs de Standard & Poor’s, Moody’s ou
Fitch, gangsters de tous poils des marchés financiers semblent plus que
jamais intouchables. Ils font et défont, sans même s’en cacher
désormais, les gouvernements en Grèce, en Italie et ailleurs. Ils
exigent toujours plus de rigueur, d’austérité pour les salariés, les
chômeurs, les retraités, etc. Ils mentent à longueur de télévision, ils
volent, ils pillent, ils tuent ! Et ce n’est qu’un début.
C’est la
grande revanche du capital qui considère que, depuis la fin de la
seconde guerre mondiale, trop d’acquis sociaux ont dû être concédés :
retraite, sécurité sociale, allocations chômage, services publics,
statuts et conventions collectives, salaire minimum, etc. Rien de
révolutionnaire mais déjà beaucoup trop pour ces cannibales.
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