Lu sur
Acrimed : "De nombreuses causes peuvent être invoquées pour expliquer ce que la
majorité des commentateurs appelle la « crise de la dette » : notre
propos n’est pas de les discuter. Mais il suffit de mentionner les
arguments qui sont généralement absents du débat public pour comprendre
comment il est orienté : à sens unique (voir annexe). Plutôt que de
retenir que l’Etat ne s’enrichit pas, on dira qu’il dépense trop. Plutôt
que de s’interroger sur l’Union monétaire et sur l’Europe des marchés,
on se bornera à revendiquer « plus d’Europe ». L’actuelle crise de la
dette est, pour les journalistes vedettes et les éditorialistes
multicartes, une aubaine pour reprendre de concert le morceau qu’ils
jouent depuis de longues années : écoutons-les et plongeons avec eux.
Lire la suite
ici