L'En Dehors

Oui, le titre de cet article est un mensonge éhonté.

Parce que d’où tu as vu, toi, que la taille de la bite ne compte pas ? Evidemment qu’elle compte ! C’est même le premier truc auquel on fait gaffe, quand on découvre une nouvelle queue : d’abord sa taille, ensuite sa forme. Et enfin, si les deux premiers paramètres ne nous ont pas fait fuir, son odeur et son goût. Non parce qu’il y a un moment où il faut arrêter : la diplomatie, poussée à l’extrême, ça devient du foutage de gueule.

C’est très important, la taille de l’engin. J’en connais qui ontpersonnellement refusé d’affronter des machines de guerre hypertrophiées par crainte de se faire arracher les amygdales – et il ne s’agissait pas de la mettre en bouche ! Comme dit une de mes amies « nan, ça va pas être possible, ce morceau-là. Pas en une fois. »

Le problème, en ce qui concerne la taille, peut donc se poser en termes de « trop petite », mais également de « trop grosse » : une queue énorme n’est pas forcément un objet de fierté pour le propriétaire ni de convoitise pour la destinataire, aussi aguerrie soit-elle (la fille, pas la queue).

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