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Grèves : la France en otage
Lu sur Brave patrie : "Si E=mc², alors une journée de grève coûte environ 10,5 milliards d’euros, soit à peu près la subvention mensuelle que l’Etat accorde aux organismes bancaires. Un jour de grève est donc un obstacle à la moralisation du capitalisme financier. Mais ça, c’est sans compter le reste. Blocages, débrayages, tournantes, prises d’otages, demandes de rançons, crimes contre l’humanité, tous les moyens sont bons pour pénaliser les petits patrons de PME, qui ne demandent qu’à créer plein de richesses et à les redistribuer. Quant aux pauvres banlieusards, ils ont déjà une vie bien pourrie. Les empêcher d’aller faire leurs 1.000 euros mensuels relève de l’extorsion en bande organisée, et les grévistes de jeter des familles entières dans le désarroi : elles n’iront pas au Center Park cette année. Révoltant.
Lire la suite ici
Ecrit par libertad, à 12:41 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  TOLKIEN
01-02-09
à 17:08

continuons à briser le moral des dirigeants politiques : vive l'hérésie !



finalement si un défilé spectaculaire et encadré peut nuire au moral des sauveurs du capitalisme en rajoutant chez les exploités un peu plus de morosité et de méfiance vis à vis du système marchand.. alors pourquoi s'en priverait t'on  ? (à la condition bien sur qu'il y est un abime indépassable entre les revendications des manifestants et les cadeaux proposés par l'etat, ceci afin que toutes les négociations entre l'etat et les syndicats régulateurs de la colère sociale soient par avance un echec..)


malgré la recherche et la désignation par le pouvoir de boucs émissaires parmis certains privilégiés, la crise actuelle du capitalisme est avant tout une crise de confiance généralisé envers le système économique qui asservis socialement et écologiquement l'ensemble du vivant, il est donc dans notre interet d'entretenir et d'afficher le plus longtemps possible cette morosité ambiante en protestant sans rien réclamer à l'etat donc sans permettre l'autorégulation et la survie du système par les exploités eux mêmes, ceci afin que la religion du capital et sa sainte croissance fondé sur la foi des exploités en l'économie marchande ne puissent pas se relever.. car qui sait.. si le bras de fer dure suffisament longtemps, le capitalisme pourrait alors connaître une seconde crise bien plus désastreuse voir chaotique pour l'etat et les possédants, avec la possibilité d'ouvrir une immense porte sur un eveil généralisé des consciences quant au rôle fondamentale de l'etat mais dont dépendra aussi la mobilisation des anarchistes par la démonstration d'alternatives concrétes et radicales..
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