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L'En Dehors


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Comme vous avez pu le remarquer l'En Dehors parait un peu épisodiquement en ce moment. Cela est du à des problèmes d'accès au réseau France Télécom qui n'est plus depuis longtemps un service public et se fiche donc pas mal des cas particuliers !
Je viens de me procurer un pass limité ( mais pas donné ) pour accéder au net, en attendant d'être relié au téléphone. J'espère pouvoir ainsi faire paraitre le canard à minima.
Désolé pour ce contre-temps provoqué par la privatisation des "services publics" !
Libertad
Ecrit par libertad, à 16:31 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  TOLKIEN
19-12-08
à 18:11

comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé



"Désolé pour ce contre-temps provoqué par la privatisation des "services publics" !


qu'il s'agisse d'une "privatisation" ou d'une "nationalisation" par l'état, de toute façon dans les deux cas il s'agit d'une privation et d'une déposséssion.. libéralisme économique ou nationalisation étatique sont les deux faces d'une même médaille correspondant aux interêts hégémoniques du pouvoir et dont l'histoire pourra peut être nous révéler que le libéralisme ne fut qu'un moyen et pas une fin en soit, contrairement à une nouvelle forme d'hégémonisme étatique qui pourrait logiquement  résulter et prendre racine dans les conditions du chaos et de la pénurie extrême qu'engendre en ce moment même le libéralisme..

cependant si la colère sociale résultant de l'ultra libéralisme n'est pas encadré  par des organisations prônant plus d'état tout en prenant les anciens dirigeants libéraux comme boucs émissaires pour apaiser cette même colère sociale, le libéralisme pourrait  s'avérer être à double tranchant pour les structures de pouvoir étatique elles mêmes, en provoquant l'effet totalement inverse et contraire d'un replis volontaire et souhaité des populations vers un nouveau type de centralisme étatique mondialisé et absolu promettant le rétablissement "de l'ordre" en échange de nos dernières libertés..
Répondre à ce commentaire

  satya
19-12-08
à 18:18

t'inquiètes pas :)
est ce qu'il  y aurait des moyens de t'aider un chouya??
Répondre à ce commentaire

  TOLKIEN
19-12-08
à 18:29

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé


pour approfondir la reflexion sur le libéralisme comme moyen et l'étatisme comme fin lire :

- discours sur la servitude volontaire (etienne de la boetie)
- "propaganda ou comment manipuler l'opinion en démocratie" (de edward bernays*)
- 1984 (georges orwell)
- Le meilleur des mondes (aldous huxley)


mais surtout lire "la dynamique de l'occident" de norbert elias ainsi que "l'état dans l'histoire" de gaston leval, ainsi que d'une manière générale tout les ouvrages expliquant l'avénement de la féodalité après la chute de l'empire romain puis la renaissance du pouvoir étatique absolutiste résultant du chaos engendré par les guerres hégémoniques entres différentes castes possédantes et mafieuses dites "féodales".







* Edward Bernays (1891-1995), neveu de Sigmund Freud émigré aux Etats-Unis, fut l'un des pères fondateurs des "relations publiques". Conseiller pour de grandes compagnies américaines, Bernays a mis au point les techniques publicitaires modernes. Au début des années 1950, il orchestra des campagnes de déstabilisation politique en Amérique latine, qui accompagnèrent notamment le renversement du gouvernement du Guatemala, main dans la main avec la CIA.
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  libertad
19-12-08
à 21:06

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé

Rien à faire Satya, merci, il faut que France Télécoms se décide à envoyer une pelleteuse pour retrouver la trappe d'accès à leur cable : autant dire remuer une montagne ! En attendant pas de téléphone 
Répondre à ce commentaire

  satya
19-12-08
à 21:33

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé

heu.... tu veux des pigeons voyageurs??
;)
bon courage !
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  libertad
19-12-08
à 22:02

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé

ca ira j'ai trouvé un moyen pour ce WE, après je me débrouillerai la semaine prochaine ;-)
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  TOLKIEN
20-12-08
à 11:28

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé


malgré le fait que je sois encore une fois "hors sujet" comme dans mes deux précédents commentaires (désolé pour le monologue),  j'aurais du intituler mon post : "le libéralisme comme moyen et l'absolutisme comme fin" en expliquant aussi pourquoi l'europe forteresse que nous connaissons actuellement est elle même le résultat d'une lutte historique pour l'hégémonie territoriale et la domination coloniale entre différentes factions (nations) tout comme ce fut le cas à plus petite échelle lors de l'avénement de l'état nation résultant lui même d'une lutte pour l'hégémonie entre différentes factions féodales dont ont peut facilement comparer les fiefs à de petits états dans leurs systèmes de fonctionnement et de pillage des populations exploités.


Ainsi si l'ont part de l'analyse historique que la logique fondamentale du pouvoir reste la quéte perpetuelle d'intemporalité passant par le contrôle territoriale et l'hégémonie planétaire totale sur le vivant tel qu'initié depuis l'antiquité par les premiers tyrans et les premiers empires dont par la suite certains devaient "durer 1000 ans"..., ont peut sans trop de diffuculté passer au dela des apparences actuelles voulant nous faire croire que le libéralisme capitaliste est une fin en soit alors que l'accélération des conditions de la privation et de la pénurie que ce système économique engendre nous démontrera probablement qu'il n'en est rien mais que celui ci constitue bien au contraire "un terreau"  favorable au replis volontaire des individus vers de nouvelles structures de pouvoir politique mondiales bien plus centralisés et hégémoniques dès lors capables de justifier la suppression de nos dernières libertés individuelles en prenant pour prétexte historique le chaos environnementale et sociale engendré par le libéralisme économique capitaliste actuelle que ces mêmes structures politiques ont engendré et favorisé. Ainsi sans "rougir" ont peut facilement penser que les idéologues fascistes et autres agents régulateurs du capitalisme issus des partis prônant un étatisme omnipotent et soit disant "internationnale" (en fait un capitalisme d'état mondialisé) pourraient bien êtres une nouvelle fois les sauveurs providentiels des structures de domination elles mêmes par l'encadrement préalable de différents mouvements principalement insurrectionnistes et non révolutionnaires comme autant de spasmes pouvant annoncer la prochaine mue d'un capitalisme mondialisé en gestation et dans l'attente de sa propre auto-régulation rendant possible la naissance de structures politiques et repressives en phase avec la conquéte et la privation mondialisé des moyens de subsistances facteurs indispensables à la préservation de nos libertés individuelles et à tout désir de fuite d'un système dévorant et digérant l'individu pour le transformer en marchandise inerte.
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  satya
20-12-08
à 11:57

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé

bonjour :)
tu aurais en effet pu commencer un article et ouvrir la discussion??
en tous les cas, au 1er janvier 2009 la fin de l'agriculture bio avec un cahier des charges strict est sonnée par l'ue qui ouvre encore plus la voie à l'industrie agro alimentaire.
ils prévoient de créer sur des "milliers" d'hectare une nouvelle industrie bio en roumanie par exemple, comme si bio et industrie pouvaient être compatibles !!!
on est très très mal barrés.
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  TOLKIEN
20-12-08
à 13:13

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé


bonjour satya,

en gros ils vont signer l'arrêt de mort de tout type de développement d'une d'agriculture alternative sans ogm ni pesticides pour ne laisser la place qu'à l'industrie de masse ou à un résidu d'agricultre bio dont le prix sera encore plus inabordable pour les plus démunis, j'ai même lu quelque part qu'ils prévoient de modifier génétiquement nos amis les arbres pour obtenir des gros troncs bas et sans branches correspondant aux besoins de l'industrie forestiere, ont peut donc penser que l'être humain désindividualisé et assigné à n'effectuer qu'une seule tache spécifique c'est pour trés trés bientôt.. (décidément georges orwell et aldous huxley c'est dépassé)

cette fois ci c'est claire il n'y a plus d'autres choix : il faut vraiment en finir avec la civilisation qu'elle soit autogéré ou pas.. putain et dire qu'il y en a encore qui veulent faire des gosses sans s'assurer préalablement qu'ils aient au moins un avenir autre que celui d'être une vulgaire marchandise génétiquement modifié..
Répondre à ce commentaire

  TOLKIEN
20-12-08
à 13:32

Re: comment la privatisation ne constitue pas une fin en soit mais un moyen d'accélérer la mise en place d'un étatisme absolu et mondialisé

... décidément toujours cette même quéte d'intemporalité face à
l'inuctabilité de la mort pourtant indispensable au renouvellement du
vivant .. cependant je ne fait aucune confusion entre  ceux qui font
des enfants pour perpetuer la vie tout comme toutes les autres
créatures vivantes d'ailleurs, et ceux qui plus calculateurs souhaitent
laisser une trace derrière eux pour que soit perpetué après leurs mort
non pas l'amour de la vie, mais principalement leurs amour du pouvoir,
de la possession et de la domination sur le vivant lui même au travers
d'un enfant modelé et soumis et privilégié qui dès lors sera en charge
de perpétuer et de préserver un nom, une caste, ou plus globalement les
structures d'exploitation et de domination toujours dans cette même
logique d'intemporalité..
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