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Education - La lutte paie : amplifions le combat
Lu sur Hacktivist news service : "C’est officiel : on peut lire sur le site du ministère de l’Éducation nationale que X. Darcos « a décidé de laisser plus de temps pour la mise en œuvre de la réforme de la classe de seconde initialement prévue à la rentrée 2009 dans le cadre de la réforme du lycée ». Par conséquent, « la conférence de presse prévue le mardi 16 décembre est annulée ».

Pour Sud Éducation, il s’agit incontestablement d’un recul : la veille encore dans le Journal du Dimanche, le ministre confirmait la mise en place de la nouvelle seconde pour la rentrée 2009. De toute évidence, les mobilisations lycéennes qui continuent ce jour de se renforcer ont fait craindre l’émergence d’un mouvement capable de mettre « le feu aux poudres », pour reprendre les termes du ministre, sur le site du Monde. L’Élysée, pour qui il faut « approfondir le travail d’explication sur le lycée » précise Le Figaro, paraît avoir imposé cette décision. Au sommet de l’État, on a un peu valsé ce week-end..
Vrai recul, fausse victoire...

Pour autant il ne s’agit nullement d’une victoire : c’est un recul tactique qui montre que le ministre est soucieux de refermer un front qui paraissait s’ouvrir dans le secondaire, alors qu’il a fort à faire dans le premier degré, face à un mouvement de « désobéissance pédagogique » qui s’étend.

C’est un recul qui permet de temporiser : depuis le 21 octobre, date de son « point d’étape » de la mise en place de la réforme, le ministre n’aura rien révélé de plus substantiel sur les contenus de sa réforme. Le ministre cherche aussi à diviser les personnels, cette temporisation constituant un des axes revendicatifs de certaines organisations, voire le seul...
Il faut des luttes à la hauteur des enjeux !

Pour Sud Éducation, il faut absolument amplifier les luttes, car ce recul n’est pas suffisant ! Nous exigeons le retrait de toutes les réformes de démantèlement de l’Éducation nationale, de la maternelle (avec les projets de jardins d’éveil pour les petites et moyennes sections, la grande section étant destinée à être rattachée au primaire) à l’université (réforme du statut des enseignants-chercheurs, réforme des concours de recrutement des enseignants, etc.), les suppressions de postes, la disparition programmée des IUFM, la généralisation des bacs pro 3 ans (le report de l’examen au CSE des projets de maquettes sur le bac-pro 3 ans, qui devait avoir lieu vendredi dernier, constitue un autre recul du ministre).

Par conséquent, Sud Éducation appelle les enseignants :
-  à débattre des nécessaires mobilisations dans tous les établissements et toutes les écoles ;
-  à s’associer aux manifestations prévues cette semaine, en particulier le 18 ;
-  à veiller à la sécurité des élèves : la stigmatisation de la violence du mouvement des lycéens, l’appel du représentant du syndicat des chefs d’établissement d’Aix-Marseille à faire intervenir la police en cas de blocage, ne laisse pas en effet de nous inquiéter.

Dans son communiqué, X. Darcos prétend que sa réforme « est bâtie sur un très large consensus des lycéens, des enseignants et des familles ».

Par l’action, dans la grève, dans la rue, dénonçons ce mensonge !

auteur : SUD Education

Ecrit par libertad, à 00:47 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  OgRuR
18-12-08
à 09:22

L'AFP annonce: Entre 1.800 lycéens selon la police, et 2.500 selon les organisateurs, ont manifesté mardi matin à Paris, parfois dans un certain désordre, pour protester contre la réforme du lycée et les suppressions de postes d'enseignants, a constaté une journaliste de l'AFP

 

http://www.lexpress.fr/actualites/1/la-reforme-du-lycee-repoussee-la-mobilisation-lyceenne-continue_726437.html

1800... Des département aussi peu peuplés que la Creuse devaient effectivement compter autant de grévistes...

Répondre à ce commentaire

  leobilski
18-12-08
à 18:46

comment faire échouer un mouvement social

     Comme d'habitude , on dirait que les syndicats s'allient au ministre pour faire échouer le mouvement. Je m'explique, vous faites tourner en rond des lycéens dans des manifestations épuisantes et sans objectifs et au cas où çà ne suffirait pas vous ajouter quelques casseurs pour refroidir les plus téméraires. A cela vous ajouter une pincée d'AG qui rencontre de moins en moins d'audience. Peut on éviter cette spirale suicidaire? Une proposition: les manifestations doivent déboucher sur des occupations/ Occupations des logements pour les mal logés, des usines pour les travailleurs, des lycée pour les lycées dans un premier temps, des conseils régionaux dans un deuxième temps . On voit mal les socialistes sensés soutenir le mouvement demander l'évacuation des conseils . Une fois dans la place on demande aux étudaints, aux jeunes chômeurs des venir les rejoindre et on refait le monde, on cherche ensemble des solutions qui nous sortirait de la merde qui nous attends.
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  leobilski
18-12-08
à 18:49

Suite à comment faire échouer le mouvement

 J'ai oublié l'essentiel les occupation doivent déboucher sur une logique autogestionaire
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  leobilski
18-12-08
à 19:02

Suite à comment faire échouer le mouvement

 J'ai oublié l'essentiel les occupations doivent déboucher sur une logique autogestionaire . Pétition pour connaitre le soutien apporté, manifestion pour se rencontrer,  échanger des numéros de téléphone, ocupation pour expérimenter une autre façon de vivre, dans les lycées avec l'aide des professeurs qui soutiennent le mouvement, çà existe, réorganiser complétement la gestion des cours voir le contenu.              On arrête, on réfléchit et on s'amuse bien ( 01 ) avouer que çà vaut mieux que les interminables manisfestations qui tournent en rond où que la casse des vitrines qui mènent à la case DCRI
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