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Marianne 2 : "Il était satisfait de sa tactique, content de sa
concertation. En quelques mois, à force d'annonces officieuses et de
démentis officiels, de faux suspenses et de vraies manipulations
médiatiques, Nicolas Sarkozy était parvenu à faire présenter sa réforme
des retraites sans trop de secousses le 16 juin. C'était sans compter un
majordome et une comptable, des enregistrements de conversations et des
enveloppes. En quelques semaines, l'affaire Woerth-Bettencourt, devenu
véritable Sarkogate et malaise d'Etat, aggravée par une cascade de
révélations sur les petits abus de privilèges de sous-ministres
marginaux, est venue bouleverser son agenda. Et cette semaine, la 166ème
depuis son élection à la présidence, fut l'une des plus secouées de son
mandat.
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