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L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





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Le harcèlement contre l'Association Kokopelli se poursuit

Lu sur Mille babords : "Pour mémoire, lors du procès en appel intenté par le GNIS et la FNPSP contre Kokopelli, nous avions été condamnés en Cour d'Appel de Nîmes à des amendes d'un montant total de 17 767 euros. Nous nous étions pourvus en Cour de Cassation sous les 48 heures, ce qui suspend le paiement de la condamnation. La Cour d'Appel de Nîmes n'a pas tenu compte de notre pourvoi en Cassation et a demandé au Trésor Public de recouvrer le montant des pénalités auprès du président de l'Association Kokopelli, Dominique Guillet.

Devant son refus de payer une telle somme, le Trésor Public a tout simplement bloqué le compte bancaire personnel de Dominique Guillet, début décembre à Aubenas (pour la Saint Nicolas!) et a sommé ce dernier de payer la somme de 17 767 euros. A ce jour, 2 200 euros ont déjà été saisis sur son compte personnel.

Cette procédure est totalement illégale et nous avons demandé à nos avocats d'intervenir auprès de la Trésorerie de Nîmes.

Le grand cirque continue: alors que certains catalogues de semences Français distribuent des variétés potagères en toute illégalité, alors que des centaines de supermarchés vendent à l'automne, en toute illégalité, des tomates et des courges de variétés strictement réservées à "l'usage amateur", la Justice Française a décidé de harceler le président de l'Association Kokopelli.

Au vu des bouleversements climatiques planétaires et du scandale sanitaire et environnemental (dû à des pesticides considérés inoffensifs pendant très longtemps par l'agronomie à la solde de la chimie!) prévalent dans les îles productrices de bananes, l'agriculture française dans la déroute pourrait peut-être se recycler dans la culture de ce fruit tropical et faire de la France une république bananière. Les fondements "éthiques" d'un tel système sont déjà posés.

Ecrit par didier2, à 21:53 dans la rubrique "Actualité".



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