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L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

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Campings anarchistes - Europe été 2007
Lu sur A-infos : "[liste non-exhaustive]
1. Camp anarchiste - Suisse 13 au 22 juillet 2007
2. Camping libertaire - France 21 au 31 juillet 2007
3. Camp d'ete anarchiste - Autriche 20 au 29 juillet 2007

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Appel pour le 3ième Camp anarchiste en suisse du 13. - 22. juillet 2007

Vivre sans rapports de domination

Les expériences faites dans le cadre d’autres camps et rencontres libertaires ont
montré toute l’importance d’un lieu où des personnes puissent se retrouver
régulièrement pour allier théories et pratiques anarchistes et passer ensemble un
moment de convivialité. Il est clair pour nous qu’un camp limité dans le temps
ressemble à une île où l’on se retire. Mais c’est justement aussi ce qui nous
permet de créer un espace de liberté par-delà des contraintes de la normalité
sociale quotidienne et qui nous permet de mettre en pratique nos idées d’une vie
sociale sans domination et de les développer. Le ""ACamp" offre la possibilité de
réfléchir sur et d’expérimenter la vie que nous voulons vivre. Au-delà des luttes
quotidiennes contre les autorités de toutes sortes, contre le harcèlement sexiste
ou identitaire et autres désagréments malheureusement courants dans cette société.
Mais il s’agit également de reconnaître et de dépasser ces rapports de domination
dans notre propre pratique quotidienne. Le consensus de base est que l’absence de
domination est incompatible avec les comportements sexistes, racistes et
patriarcaux. Les discriminations de toutes sortes ne doivent pas être tolérées et
les personnes qui ne partagent pas cette position sont priées de rester chez elles.
Nous sommes conscientEs que le "A-Camp" ne représente qu’une forme relative de
l’absence de domination, parce que nous (re)produisons touTEs les mécanismes de
domination de cette société. Nous partons du principe que touTEs les participantEs
s’impliquent activement dans le déroulement du camp quand ils/ elles constatent
chez
eux/elles-mêmes ou d’autres de tels comportements et que touTEs s’engagent ensemble
pour que notre vie commune soit la plus libre possible de toute domination. Il doit
être possible en tout temps de se confronter aux rapports de domination et à leurs
conséquences.
Animer ensemble un camp ne signifie pas s’immerger de manière acritique dans un
"sentiment d’appartenance au milieu". Il est important de montrer les
contradictions et d’exprimer des critiques, pour que nous puissions apprendre les
unEs des autres et remettre en question nos comportements. Les conflits sont OK!
Néanmoins, les rapports entre nous dans le cadre de ce camp anarchiste doivent être
empreints de solidarité et de respect mutuels, ce qui implique d’accepter qu’il
existe différentes opinions et approches. Le groupe de préparation n’existe que
jusqu’à ce que le camp commence. Dès cet instant, tout dépend de l’ensemble des
participantEs au camp: le fonctionnement quotidien, le caractère plus ou moins
plaisant ou jusqu’à quel point nous parvenons à réaliser nos utopies. Nous nous
occupons bel et bien de la préparation en cherchant un emplacement, en faisant de
la pub et en essayant de réunir les infrastructures nécessaires, mais sans des
personnes qui assurent le montage et le démontage du camp, son organisation ou
celle de la cuisine, sans des personnes qui s’occupent d’assurer le ravitaillement,
qui font la cuisine, qui s’occupent des rangements, de l’accompagnement en commun
des enfants etc. rien ne va! Nous sommes conscientEs de la hiérarchie de savoir
liée à un tel groupe de préparation et essayons pendant le camp de transmettre les
informations de la manière la plus transparente possible, pour que, nous
l’espérons, des structures définies en commun prennent le relais.

Diversité auto-organisée 1 - L'organisation

Comme nous espérons rencontrer au camp de nombreuses personnes de langue française
et italienne, nous voulons autant que possible que les réunions, les informations
et les discussions soient multilingues. Nous aurons donc certainement besoin de
personnes capables d’assurer des traductions. En plus de la vie commune et des
échanges, le camp devrait aussi offrir quelques ateliers. Certains sont en
préparation ou déjà
organisés. Vous en trouvez une liste actualisée sur notre site: www.acamp.ch.vu -
Mais nous partons du principe que touTEs les participantEs peuvent mettre sur pied
un atelier selon leurs voeux et leurs intérêts. Cela peut aussi bien être annoncé
par le canal du site précité qu’être mis sur pied spontanément pendant le
camp lui-même.

Diversité auto-organisée 1 - L'Ateliers et culture

L’offre d’ateliers peut donc être aussi multiple et diverse que les intérêts des
participantEs: On peut imaginer des ateliers de construction de chiottes à compost,
d’ascension d’arbres, de rédaction d’un journal, de réalisation d’émissions de
radio ou de théâtre de rue, tout comme des discussions sur des thèmes allant
de l’anarchosyndicalisme, de l’antimilitarisme, des bases de l’anarchisme, du
travail, de la vie en commune, de la pédagogie/antipédagogie, jusqu’à l’anarchie
des genres, donc antisexisme, intersexualité, critique de la RRC (relation
romantique de couple). Finalement, tout dépend de ce que vous allez faire et
préparer, donc annoncez-vous nombreux/euses pour nous parler des choses que vous
voulez faire. La diversité du A-Camp ne peut naître que si les personnes qui
travaillent chez eux/elles pratiquement ou théoriquement sur un thème quelconque,
préparent et mettent sur pied un atelier. Nous souhaitons également un riche
programme culturel. Si vous faites de la musique, que vous jouez du cabaret ou du
théâtre ou que vous voulez animer une soirée, faites-nous signe. Le terrain offre
également de la place pour jouer et danser, amenez le matériel
nécessaire.

Mise en réseau avec d'autres

Afin de poursuivre la résistance contre la domination et l’exploitation dans le
monde entier et de faire le lien avec les contenus du A-Camp, nous voulons tenter
de mettre le camp en réseau avec des luttes politiques concrètes. C’est pourquoi il
serait bien que des personnes participant à ces luttes présentent au camp leurs
derniers développements et leurs projets/perspectives . Faites donc jouer vos
contacts avec d’autres camps ou caravanes libertaires, aux militantEs et
organisations d’autres pays, pour que la participation au A-Camp
soit en même temps un pas vers une mise en réseau pour la suite.

homepage: www.acamp.ch.vu
email: acamp.ch(a)gmx.net

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Pour la quatrième années, l'OCL et l'OLS organisent un camping commun ouvert à
toutes et tous. Beaucoup de personnes qui y participent n'appartiennent à aucune
des deux organisations. L'idée est de profiter de la période estivale pour discuter
de thèmes - voir le programme - sur lesquels nous avons trop peu le temps de nous
arrêter lors de notre militantisme quotidien. Il ne s'agit pas pour autant d'une
université d'été où on viendrait écouter la bonne parole ou faire des cours de
rattrapage. Nous souhaitons plutôt offrir un espace de dialogue, de rencontre,
d'échanges formels comme informels.

Un débat se tient chaque soir. Les journées offrent de vastes temps libres que
chacun-e occupe à sa guise. En fonction des envies, des débats non prévus au
programme peuvent être organisés, proposés à l'improviste ou
poursuivre des questions qui se seraient posées durant les discussions précédentes.
La vidéothèque, la librairie et table de presse marchent à tout moment. Ce
fonctionnement laisse aussi place à toutes personnes qui souhaiteraient faire
partager une expérience, présenter une lutte particulière… Ce camping est donc pour
toutes ces raisons ouvert à toutes et tous.

LES DEBATS se déroulent quotidiennement, à la «fraîche», vers 20h30, après le repas
du soir. Leur structure n’est pas figée. Des propositions peuvent être faite. Le
reste de la journée permet d’insérer d’autres temps de
discussions.

Samedi 21 juillet
Pot d'accueil

Dimanche 22 juillet
L'année politique

Quels bilans peut-on tirer du dernier cirque électoral ? Quelles sont les
évolutions et les constantes de cette période appelées «campagne» ? A-t-elle
passionné les foules comme le prétendent les médias ? Quelles sont
ces foules passionnées ? Le fossé entre leur démocratie parlementaire, leur régime
présidentiel et la vie réelle sous tous ses aspects s'est-il accru ou partiellement
comblé ?

Lundi 23 juillet
L’Année sociale

Une idée courante est qu'il n'y a pas de conflits sociaux en période électorale.
Cela s'est-il vérifié ? Y-a-t-il une baisse de la conflictualité avec l'extension
du chômage et de la précarité, la baisse des adhésions aux
syndicats, la hausse de l’individualisme ? Y-a-t-il une transformation de la
conflictualité ? Les conflits sociaux sont-ils de plus en plus liés au statut
social (revendication d’une reconnaissance d'une place dans la société) ou à
l'emploi (lié à identité collective) ?

Mardi 24 juillet
Le jeu

Trop souvent considéré comme réservé aux enfants, le jeu reste une activité
fondamentale pour l'être humain. Nos sociétés mettent en avant un type de jeu,
fondé sur une mise en concurrence de tous contre tous. Les « jeux » (télévisés ou
autres) fondés sur l’élimination, mettent en scène cette lutte pour la survie,
diffusent l’idée que nous sommes toujours seuls contre tous. Les classements de
toutes sortes pullulent. Comment penser le jeu, le plaisir qu'on peut ou non y
prendre dans le cadre des luttes révolutionnaires : faut-il prôner une
réappropriation, vouer cette activité aux gémonies en tant qu'arme de l'ennemi ou
bien déclarer le sujet sans intérêt pour la lutte ?

Mercredi 25 juillet
L’explosion

Quand une partie de l'histoire du nucléaire en France rencontre une partie de
l'histoire ouvrière, cela peut provoquer une explosion d'un cocktail étonnant,
mélangeant les peurs de l'explosion nucléaire, les mécontentements de l'explosion
sociale et les départs discrets de l'explosion territoriale. Le film
L'Explosion est retourné à Chooz, dans les Ardennes, 25 ans après que s'y soit
déroulée une virulente opposition à la construction de la centrale nucléaire.

2006 | Documentaire | 52 min. | Filfil Films
réalisé par Jérôme CHAMPION

Jeudi 26 juillet
Lutte de libération nationale

Les luttes de libération nationales sont, comme bien d'autres, porteuses de
contradictions qui alimentent débats et polémiques dans les mouvements
révolutionnaires. Nées de révoltes contre le colonialisme, elles
expriment souvent des aspirations plus vastes à la fin de l'exploitation et de la
domination. Mais en même temps elles sont sujettes à des pesanteurs de reproduction
de cette domination sous la forme de la montée de nouvelles bourgeoisies aspirant à
s'emparer de l'Etat en cas de « victoire ». Exactement d'ailleurs comme pour les
luttes sur le terrain du salariat ou sur celui de la division du travail et des
rôles sociaux. Nos orientations révolutionnaires, libertaires devraient nous
incliner à discerner les éléments qui, au sein de ces luttes, dessinent des
contenus émancipateurs...

Vendredi 27 juillet
Révolutionnaire aujourd’hui

Que faire pour changer radicalement cette société ? Personne aujourd’hui ne peut
prétendre avoir la solution ? Début Janvier, Courant Alternatif et Offensive ont
publié un numéro commun intitulé « Révolutionnaire aujourd’hui ». Loin d’être un
livre avec mille et une façon de faire la révolution, ce numéro pose le débat de
quel engagement aujourd’hui... Quelle organisation ? Quelles luttes ? Quelles
alternatives ?

Samedi 28 juillet
La prostitution

La prostitution a toujours divisé le milieu militant car elle soulève un certain
nombre de questions qui dérangent relevant de l'intime, comme celles de notre
rapport au corps et à la sexualité. Comment se positionner entre la lutte contre la
marchandisation du corps des femmes et la solidarité avec les personnes
prostituées, qui subissent la répression de l'État de plein fouet ?


Dimanche 29 juillet
Les luttes de classes au Moyen-Orient

Au Moyen-Orient, des hommes et des femmes, athées et croyants, chômeurs, ouvriers,
syndicalistes et féministes cherchent à sortir de la soi-disant alternative entre
islamistes et impérialisme américain. Comment défendre les droits des femmes face à
des gouvernements islamistes ? Comment défendre les syndicalistes
face à la stratégie américaine ? Quelles luttes sociales mener pour défendre
l'égalité et les droits des salariés ? Quelle doit être notre attitude face à une
situation complexe.

Lundi 30 juillet
Les luttes de l’immigration

La volonté de contrôle des migrations justifie le déploiement d’un arsenal policier
et juridique sans précédent. Cette démonstration de force s’accommode très bien de
l’exploitation de la force de travail des migrants
« légaux » et « illégaux » par l’économie occidentale. La répression de
l’immigration accentue ainsi leur précarité administrative et sociale tout en
remplaçant les dispositifs et sécuritaires.

Organisation matérielle du camping

Nous sommes accueilli.e.s dans une ferme en activité dont les exploitant.e.s
mettent à notre disposition un local comprenant un coin cuisine, un salle de repas,
une pièce pour les débats, des sanitaires (douches, lavabos, WC) et des terrains
pour le camping.
Pour ne pas gêner les travaux quotidiens un parking pour les voitures (autres que
camping-car) est disponible à Esplas-de-Sérou, qui se situe à dix minutes à pied.
Téléphone sur place : 05 61 65 80 16

Les repas

Ils sont pris en commun et confectionnés par des équipes tournantes. Chaque jour,
une équipe « bouffe » s'occupe des courses et des deux repas de 13h et 19h en
fonction d'un budget quotidien (le petit déjeuner est autogéré service/vaisselle).
Une seconde équipe s'occupe de la vaisselle, de la propreté des sanitaires, de la
salle de réunion et de l'entretien quotidien du lieu.

Les prix, les tarifs

Ils comprennent les trois repas et les frais du camping et sont établis en fonction
des revenus par souci égalitaire. Le séjour est gratuit pour les bébés mais un
tarif de 5 euros par jour est demandé pour les enfants.
Tarifs journaliers selon les revenus mensuels :
5 euros si inférieurs à 400 euros
7 euros entre 400 et 700 euros
8 euros entre 700 et 800 euros
9 euros entre 800 et 900 euros
10 euros entre 900 et 1 100 euros
12 euros entre 1100 et 1200 euros
14 euros entre 1200 et 1500 euros
18 euros entre 1500 et 2000 euros
20 euros si supérieurs à 2000 euros

Y accéder
Le camping se situe à Eychenat sur la commune de l’Esplas de Sérou.
En train : gare de FOIX, prévenir à l'avance de votre arrivée et on peut venir vous
chercher.
En bus : à la sortie de la gare de FOIX, prendre le bus direction St Girons et
descendre à La Bastide de Sérou où nous irons vous chercher. Si vous tenez vraiment
à l'autonomie intégrale, suivre les panneaux indiquant «
Camping libertaire » à la sortie du village (à gauche), prendre son souffle et çà
grimpe pour deux petites heures !
Par la route : vous venez de FOIX, prendre la départementale 117, direction St
Girons. A la sortie de La Bastide de Sérou, suivre le fléchage temporaire Camping
libertaire.

Pour plus de renseignements
Organisation Communiste Libertaire c/o Egregore
B.P. 1213 51058 Reims Cedex
lechatnoir(a)club-internet.fr
03 26 82 36 16

Offensive Libertaire et Sociale
c/o Mille Bâbords
61 rue Consolat, 13001 Marseille
ols(a)no-log.org
06 62 75 28 46

http://oclibertaire.free.fr/quoideneufcamping.html


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A NOUS LA BELLE VIE!
L'AMOUR, LE LUXE, L'ANARCHIE!

Programme
Résistance : pour nous, c’est de la vivacité – dans ce sens, à l’occasion du
deuxième camp de l’été anarchiste en Autriche nous voulons ensemble pour une
semaine vivre, aimer, rigoler, discuter, forger des plans, danser,
rassembler des idées, baigner, blottir ou faire ce que nous avons envie.

Le A-Camp n’est pas de vacance proprement dit, puisque cette notion vient de la
séparation de travail et loisir. Pourtant, pour la durée du camp, nous voulons
créer notre vie ensemble sans contraintes, nous
nous faire connaissance et remplir la théorie anarchiste avec une pratique
solidaire : à la fois concernant les choses quotidiennes que les débats ou
ateliers.
Nous sommes conscient que ce n’est qu’une vie sans domination relative, parce que
premierement nous portons tous avec nous des méchanismes de domination, dans nos
corps et cerveaux, et deuxièmement le camp anarchiste n’est qu’une îlot limité par
l’éspace et du temps au sein d’une société marquée par la domination.
Mais peut-être nous réussissons pendant la durée du camp de créer un espace libre
au-delà de cette normalité sociale avec ses contrariantes quotidiennes. Dans cet
éspace libre, nous ésperons ressentir, de quoi nous luttons et d’où nous voulons
arriver.

Condition préalable, c’est que les discriminations et méchanismes d’oppression ne
sont dans aucun cas supportées dans le camp. C’est une résponsabilité de chaqun des
participants. C'est-à-dire : être attentif,
s’interposer et de s’en parler, lorsque de tels comportements sont aperçus – chez
les autres ou chez soi-même. L’expérience d’une vie libertaire et solidaire nous
donne de l’amour et du courage pour notre engagement quotidienne.

De quoi le camp peut donner et de quoi il est capable

Le terrain se répand sur plusieurs prés, il y en a des arbres, des brousses, un
petit ruisseau et des lieus pour faire le feu. Il y en a assez d’éspace pour le
camping. En plus, le terrain nous propose une infrastructure
variable. Il y en a des locaux secs, une cuisine et, en cas de nécessité, un nombre
limité des lits. On en a assez des installations sanitaires et nous avons
l’occasion de nous baigner dans les alentours. En plus, nous organisons une
infrastructure informatique (par example pour un bulletin du camp / des ateliers /
l’Internet).
Nous cuisinions ensemble et d’une manière que chaqun peut manger quelque chose
(végétaliens, des égards pour des allergies ou mères en allaitement). Lorsque nous
épaulerons les travaux quotidiennes (faire
des courses, cuisinier, nettoyer, ranger...) ensemble et en coopération avec tous
les participants du camp, chaqun ne doit qu’investir peu de temps – par contre :
lorsque tous les travaux restent dans la résponsabilité de peu nombre de gens, ça
n’a rien à voir avec un comportement libertaire et solidaire.

Quant au contenu du camp, ça dépend des gens qu’y viennent, de ce qu’ils voulaient
faire ou de ce qui se développe spontanémment sur place. N’attendez pas un
"programme accompli" avec discours et ateliers, par contre il s’agit de s’investir,
de proposer des ateliers et débats. Les camps anarchistes des dernières années ont
montrés qu’ainsi on pourrait développer des points de programme multiples sur
place. Dans le camp en 2006, par example, on a eu des alteliers et débats sur des
sujets de post-anarchisme, anarchaféminisme, anarchoyndicalisme en Slovaquie ainsi
qu’un concert, des cours d’autodéfense pour des femmes et un guignol
multilangue ("A-Camp en danger!"). Des autres participants ont organisées des
ateliers pour jaillissement, des jeux ("Anarcholympics"), des soirées de films ou
une petite fête...

La variabilité des sujets et possibilités ne peut se confier que sur " l’anarchisme
classique ". D’un point de vue libertaire nous voulons ensemble discuter des sujets
différents : débutant avec des utopies (anarchistes) et théories sur les relations
des sexes ou la critique de la "ménage a deux romantique" jusqu’à les formes de
lutte, les expériences pratiques du travail politique et les modèles alternatives
d’une vie commune. Le camp propose d’éspace pour une organisation multiforme –
remplit avec théorie et pratique, avec des ateliers, des jeux, de la musique, des
discours et débats, de la cuisine, des films, danses etc.


Ce que fait le groupe des organisateurs

Le groupe-orga épaule la préparation, organise le lieu, va fournir l’information
transnationale et s’occupe de l’infrastructure – pourtant il est indispensable que
les participants construisent et démontent le camp, organisent le camp et la
cuisine, font des courses, vont cuisinier, ranger et s’occuper des enfants sur
place.
Nous sommes conscient de l’hierarchie de savoir faire qui s’installe pendant cette
phase de préparation et nous essayons de distribuer les informations aussi
transparents que possible dans le camp, quitte à que se construisent des autres
structures d’organisation qui prennent la relève.

Pourtant il y a quelques points que nous avons déjà décidés dans la phase de
préparation (en partie à cause des expériences des autres camps et du camp de l’an
dernier) et nous ne voulions pas discuter ces points à nouveaux dans le camp. Nous
sommes conscients que tout le monde ne devrait pas être heureux avec la restriction
concernant les chiens.

· Laissez vos chiens de chez vous ! D’un côté, un bon nombre des chiens sur le
terrain est difficile à gérer, de l’autre côté nous voulons faciliter la
participation pour des gens avec des enfants. A cause de ces raisons
et à cause des expériences dans des camps ailleurs nous avons décidé consciemment
que ce camp-ci
va devenir un camp sans chiens.

· Il y en a un chapiteau entièrement pour les femmes et lestranssexuells/es –
utilisable comme lieu de rencontre ou éspace libre ou n’importe quel genre
d’utilisation.

· Nous voulons donner à des parents l’envie de venir avec leurs enfants. Sur le
terrain, il y en a beaucoup d’éspace et possibilités pour se chahuter et nous
voulions construire un chapiteau pour des enfants. Apportez des idées et des jouets
! Pourtant, ce n’est pas seulement la responsabilité des parents de s’en occuper
des enfants – tous, nous devrons essayer de prendre l’égard à des enfants et leurs
besoins.

· Pour les habitants de wagon:
On ne peut pas garer des voitures sur le terrain du A-Camp, par contre on a des
possibilités de parking aux alentours. Des wagons ou caravans qui sont utilisées
comme lieu de séjour peuvent être logées sur un petit pré du terrain. Pour éviter
des dégâts et à cause de l'éspace fortement réduite les wagons logés doivent rester
pour toute la durée sur le terrain du camp et ne peuvent pas bouger ou utilisés
pour une course ou voyage - les achats au supermarché etc. peuvent être organisés
ensemble et d'une autre manière. Lorsque le terrain
soit comblé, les wagons et caravanes doivent également être logées aux alentours.


Ce qu’il peut devenir

Le camp anarchiste de 2007 en Autriche a pour but de rassembler des gens de
differents pays/régions et avec des expériences differentes pour associer la
théorie à la pratique libertaire. Des alternatives sociales sans
domination ne sont pas réalisables venant de livres – ils doivent être développées,
éprouvées et aussi
changées dans la vie réelle. La vie commune pratique et l’agissement ensemble au
camp pourrait nous fournir des expériences avec l’autogestion, qui sont également
valable dans notre quotidien social et politique.
D’ailleurs, la confrontation commune avec des théories anarchistes et idées
libertaires va nous aider à remettre en question nos comportements et à découvrir
des nouvelles possibilités de pensée.

Gérer un camp de manière commune ne veut pas dire qu’on cède de l’ésprit critique
au "sentiment commun de la scène" (après tout, nous, nous sommes des bienfaiteurs
!). Il est important de démontrer les contradictions et s’investir à la critique,
pour que nous pouvons l’apprendre l’un de l’autre et remettre en
question notre comportement. Et ça fait du bien de se disputer avec quelqu’un !
Pourtant, notre
maniement parmi nous-mêmes dois être marquée par la solidarité et par le respect,
inclus l’acceptance des approchements differentes.

Amour & Courage
Le groupe des organisateurs pour le A-Camp 2007 en Autriche


Quand – Ou – Comment

Inscription : Ça sera chouette si tu t’inscrit sur l’adresse mél :
info(a)a-camp.info (si possible en allemand ou anglais). Est-ce que tu peux
signaler un atelier (ou n’importe quelle chose) que tu veux apporter au camp afin
que nous pouvons le publier sur notre site Internet ?


Où ça va se dérouler

Le A-Camp 2007 va se dérouler au nord de l’Autriche-basse. On va publier un plan
d’accès et des informations sur les correspondances régionales (rares) un mois
auparavant du camp (c.v.d. à mi-juin). On
ne peut pas garer des voitures sur le terrain, on a des possibilitiés de parking
dans les alentours.


Ce qu’il coûte

Il n’y a pas de montant fix que tu dois payer pour la participation du camp.
Pourtant, avec environ 8 € par personne et jour tu devrait être capable de couvrir
les frais pour l’éspace, l’infrastructure complète et l’alimentation. Si tu n’est
pas à la mésure de payer autant de fric, tu n’est naturellement pas empêché. Si tu
soit solidaire et capable de payer plus, tu est prié de le faire.

Nous te prions d’apporter ta vaiselle outre que tente, sac de couchage, couverture
en laine etc. Même s’il fait chaud pendant la journée, les nuits peuvent devenir
très froides – vêtements chauds et couvertures de pluie sont recommandées.

Flyer en français à télécharger :
http://anarchie.a-camp.the-web.at/art-img/acamp07/flyer/flyer%5FCamp%
2Dd%5F%E9t%E9%5Fanarchiste%5F2007%2Epdf?sessid=53526773

http://anarchie.a-camp.the-web.at/
Ecrit par libertad, à 09:34 dans la rubrique "Actualité".



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