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L'En Dehors


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--> Le boulot y en a pas beaucoup. Faut le laisser à ceux qui aiment ça.
Lu sur AC : "Le traitement réservé aux précaires et à la jeunesse est révélateur des orientations néo-libérales qui gouvernent les politiques actuelles et de l’absence du politique au profit d’une certaine logique économique. Choisir de ramener ces questions (chômage, inégalités ...) à des problèmes concernant des populations particulières, ciblées et caractérisées, revient à éviter de s’interroger et d’analyser les transformations actuelles, leurs enjeux et leur caractère global. C’est aussi stigmatiser, disqualifier, marginaliser, diviser, exclure sous couvert d’aide et d’assistance, sans donner aux personnes les possibilités d’une véritable autonomie. La similitude avec les politiques à l’égard des pays du Tiers-Monde est éloquante. Cette précarisation n’a cessé de se développer et de toucher toujours plus de personnes :


- par la multiplication des contrats précaires
- par le développement du sous-emploi
- par l’augmentation constante de travailleurs pauvres parfois SDF
- par le projet avoué de destruction des olidarités sociales (retraites, chômage, formation...)
- par une recodification du droit du travail et un plan dit de "modernisation " de l’inspection du travail, qui achèvera de démanteler un code protecteur pour les salariés
- par la prédominance d’une logique imposée par l’actionnariat centrée sur le profit et la recherche constante d’une réduction des coûts, à commencer par les salaires. Aujourd’hui, le plein emploi est mort. Toujours plus de jeunes,toujours plus diplômés viennent rejoindre les rangs des précaires entre stages, CDD et chômage. Faute de garanties sociales suffisantes, ils constituent de fait un gigantesque vivier de main-d’oeuvre disponible où puisent à volonté les employeurs. Une force de travail pas toujours en mesure de refuser de passer par les CAE, les contrats d’avenir, les stages gratuits, les emplois sous-payées ou inintéressants,sans rapport avec leur qualification ou leurs désirs. Il faut le redire même si c’est l’évidence : c’est le patronat qui créé le chômage de masse en refusant la diminution du temps de travail de tous. C’est le patronat qui entretient le chômage de masse pour s’assurer une main-d’oeuvre docile et bon marché, tout en agitant le mythe du plein emploi.

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Ecrit par didier2, à 22:45 dans la rubrique "Actualité".



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