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Le cul-de-sac d'un certain féminisme
Lu sur Radio Canada : "Dans cet entretien, Élisabeth Badinter dénonce ce qu'elle appelle le féminisme «victimaire», c'est-à-dire celui qui oppose d'un côté les femmes en tant que victimes; de l'autre, les hommes en tant qu'agresseurs. Selon elle, il s'agit d'une régression. Mme Badinter s'élève contre la condamnation absolue de la sexualité masculine. Elle croit que l'on fait fausse route en demandant aux hommes de changer de sexualité pour se conformer à la sexualité féminine. Elle s'inquiète du fait que les hommes ont peur des femmes, que les garçons se retrouvent entre eux; les filles, entre elles. Bref, ses propos dénoncent le fossé qui se creuse entre les deux sexes. Écoute de l'entrevue diffusée Écoute de la version intégrale de l'entrevue
Élisabeth Badinter critique le radicalisme de certaines célèbres féministes américaines et affirme que le nouveau féminisme est dans un cul-de-sac depuis 15 ans. Elle est persuadée que le vrai combat du féminisme est celui qui fait éclater le patriarcat. Elle donne pour exemple le partage des tâches dans le privé qui demeure toujours inégal et pour lequel il faut lutter. La philosophe se réjouit par ailleurs des progrès, des bons coups du féminisme, en s'appuyant sur le fait que très peu de femmes voudraient effectuer un retour en arrière et adopter la manière de vivre de leurs propres descendantes." Mis en ligne par libertad, le Mardi 29 Avril 2003, 21:44 dans la rubrique "Le privé est politique".
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à 23:12